1. Elodie – 03 – Retrouvailles avec Pierre


    Datte: 24/05/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Thma69, Source: Hds

    ... quel qu’en soit le prix, je n’ai jamais vécu ça, je ne pourrai jamais plus m’en passer. Ces va et viens m’irradient tout le corps. Nous ondulons en rythme, le souffle rauque, ses assauts se font plus violents.
    
    J’hurle tandis que son dos s’arc-boute et que je le sens jouir en moi, il se tend une dernière fois en s’enfonçant profondément et en poussant un râle, les paupières serrées, agité d’un long tremblement.
    
    Nous restons là un moment, haletants, immobiles. Finalement il se dégage et nous nous observons longuement, nous savons qu’il s’agit des premiers actes d’une pièce qui en compte de nombreux autres. Il a besoin de recharger ses batteries, mais vais pouvoir l’aider. Je m’y applique sans tarder en l’asseyant au bord du lit avant de m’agenouiller devant lui. Lentement tout d’abord, en jouant avec lui du bout des doigts, des lèvres et de la langue avant de m’appliquer en l’avalant et en entreprenant de lents va et viens. Il glisse ses doigts dans mes cheveux et je le sens se tendre. Encouragée, j’ai continué en alternant mes caresses buccales par des caresses manuelles, alternant les rythmes et la pressions de mes lèvres, de mes doigts de ma langue jusqu’à ce qu’il soit prêt, au garde-à-vous
    
    Je me rue alors sur lui en l’escaladant. Je l’embrasse fougueusement. Ses doigts se ...
    ... referment brutalement sur mes fesses, il me soulève et mes jambes se referment autour de lui tandis qu’il me descend que je m’empale sur lui. Nous restons ainsi un instant, la fougue de notre baiser toujours aussi vive. Je le sens vivre en moi et je commence à monter et descendre. Je gémis et il geint tandis qu’il fait aller son bassin au rythme de mes mouvements. Je le supplie d’aller plus vite. Nous changeons de position, je suis maintenant à genoux au bord du lit, submergée par une nouvelle sensation, celle d’être offerte.
    
    - Viens mon chéri, prends-moi !
    
    Mais il n’a pas besoin de se faire prier, il m’agrippe par les hanches et me pénètre d’une poussée vigoureuse. Je crie. Il joue avec mon corps, il le caresse, le pénètre en alternant les rythmes et les poussées. Je n’existe plus, je ne suis plus qu’une boule de sensations. Je jouis dans un cri mais il est infatigable. Tous mes nerfs sont à vif, tout mon corps est un point érogène, chacune de ses caresses m’électrisent, je meurs de volupté. Je trouve la force de hurler ma nouvelle jouissance lorsque je le sens se plaquer à moi, se tendre s’agripper à mes hanches et exploser dans un cri.
    
    Comment avais-je pu rester aussi longtemps dans l’ignorance de tout ça, sans même savoir que de telles sensations existaient et que je pouvais les vivre ? 
«1234»