Le journal d'une veuve (5)
Datte: 23/05/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
... et Marie faisait mine de s'offusquer. C'était une sorte de rituel et cela se terminait invariablement à chaque sortie par une partie de cul en plein air, selon le scénario suivant :
- Qu'est-ce que tu veux ? Me sauter là, maintenant ? Tu ne peux pas attendre ce soir ? (Marie)
- Non, je veux te baiser tout de suite, j'ai trop envie de toi (Cédric).
- Et Christine ? Tu y penses un peu ? Elle va tenir la chandelle ?
- Elle n'a qu'à nous regarder, ça t'excite toujours d'être matée, je te connais.
- Tu es un gros cochon.
- Et toi une grosse cochonne. Tu as envie de baiser, je le sais.
- Tu as intérêt à être à la hauteur, vingt centimètres minimum, sinon je te pourris le reste du séjour.
- Je vais te défoncer, viens par là.
Et Cédric l'entrainait un peu à l'écart du chemin de randonnée. Il sortait de son sac à dos une espèce de drap qu'il étendait par terre, preuve de préméditation, et Marie se mettait tranquillement à poil, gardant juste ses chaussures de marche, imitée par Cédric. Leurs corps charnus et musclés frémissaient de désir l'un pour l'autre. Ils commençaient toujours par un 69, elle dessus puis il enfonçait son gros machin dans sa chatte gluante, tantôt en levrette, tantôt en missionnaire et je pouvais visualiser en me masturbant leurs gros fessiers en mouvement. Leur coït faisait un bruit mouillé qui attestait du désir de Marie. Le cul poilu de Cédric m'inspirait ...
... particulièrement et je ne résistais jamais au plaisir de le caresser pendant qu'il creusait inlassablement, cherchant tantôt les parois vaginales, tantôt la profondeur, encouragé par les ongles de Marie plantés dans la chair. En toute fin de séjour, ce qui devait arriver arriva. Marie, qui avait déjà joui sous les arbres, intima l'ordre à Cédric de me baiser :
- Elle t'a bien caressée, tu lui dois bien ça.
Je n'ai pas fait de manière et j'ai vite baissé short et culotte pour m'empaler sur le dard, les pieds (chaussés) sur le sol mousseux sous la nappe. De les voir baiser aussi souvent (et les entendre parfois la nuit) m'avait mis dans un état pas possible que seule une bite bien dure pouvait apaiser. Et dure, celle de Cédric l'était. J'ai donné de grands coups de hanches pendant que Cédric me pétrissait les nibards, qu'il avait visiblement à la bonne. Depuis que j'avais recommencé à baiser, mon vagin s'était élargi et assoupli. En plus, mes secrétions fonctionnaient parfaitement. Je pouvais désormais profiter des grosses queues et me faire fouiller sans mal. Ce jour là, je me suis vraiment empalée et je n'ai eu aucune difficulté à atteindre l'orgasme. Ce fut le seul coït de mon séjour auvergnat, mais il fut puissant. J'ai remercié Marie en lui faisait une grosse bise. Une complicité de plus avec une fille de l'Ehpad. Il ne me reste plus que Rita pour partager un moment d'intimité. En septembre peut-être...
(A suivre)