1. Le journal d'une veuve (5)


    Datte: 23/05/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... du pied des deux mâles. En fait, j'étais sûre qu'elle les faisait mijoter car même si mes potes ne sont pas des canons, ils sont très sexués et savent parler au bas-ventre des femmes. Pas sotte, elle voyait bien ce qu'ils voulaient mais elle réagissait comme une ado, jouant de son charme évident mais sans envisager un passage à l'acte, du moins dans l'immédiat.
    
    Nous sommes allés en boite. L'alcool et la musique aidant, Ariane s'est peu à peu détendue et a laissé Léo la peloter. Au coeur de la nuit, une ambiance de stupre flottait dans la boite, on voyait des couples improbables, formés sur place, s'échapper vers des lieux où la copulation les attendait. On est sortis bras dessus bras dessous, Kléber avec moi, Léo avec Ariane qui avaient commencé à s'embrasser. En sortant de la voiture, au pied de mon appartement, Ariane m'a soufflé à l'oreille :
    
    - C'est pas possible, ils vont monter avec nous ?
    
    - Ben tiens. Qu'est-ce que tu crois ? On va baiser tous les quatre ensemble.
    
    - Mais je n'ai jamais fait ça, moi !
    
    - Justement. Il est grand temps que tu saches ce que c'est que le cul. Pas le moment de faire ta mijaurée. Et puis, Léo te plait non ?
    
    - Oui mais... Quand même, ça va un peu vite. Et puis, on n'a qu'un lit...
    
    - Justement. Allez, monte, ils nous attendent.
    
    J'ai pris les choses en mains. A peine entrée dans l'appartement, j'ai fait passer ma robe par-dessus ma tête, ôté mon slip, ouvert le lit en grand et je m'y suis allongée, les coudes sur le ...
    ... matelas, mes gros seins dressés vers le plafond. Nu aussi rapidement que moi, Kléber s'est assis à mon côté et a commencé à me caresser. Je me suis alors adressée à Ariane et Léo :
    
    - Vous n'allez pas nous regarder nous branler sans rien faire. Venez avec nous.
    
    Léo nous a rejoints, il bandait comme un âne et j'ai vu dans le regard d'Ariane quelque chose qui ressemblait fortement à du désir. Elle fut la dernière à se mettre à poil mais la première à sucer, en l'occurrence le chibre de Léo qu'elle aspirait goulûment, preuve qu'elle était déjà passée "de l'autre côté". J'ai laissé Kléber lui caresser la chatte puis lui mettre son groin entre les cuisses et alors, Ariane s'est vraiment lâchée. Ils l'ont baisée tous les deux sous mes yeux à tour de rôle, la pilonnant sans concession et Ariane, cuisses repliées et talons sur les fesses de son baiseur, s'est mise à bramer au point que je me suis inquiétée pour ma future réunion de copropriété, vu que mes voisins ne sont pas toujours très compréhensifs. La psy s'est révélée une partenaire plus que convenable, acceptant d'être prise en même temps par la chatte et par la bouche, chevauchant son Léo en parallèle avec moi sur Kléber, ce qui menaça de faire craquer définitivement mon plumard. Nos regards se croisaient pendant que nous cavalions et j'y lisais à la fois de l'étonnement et de la reconnaissance. A la voir baiser ainsi, je comprenais encore moins pourquoi son jules l'avait quittée. Elle aimait vraiment ça, c'était clair. Lorsque ...