Le journal d'une veuve (5) - Histoires de Sexe

Le journal d'une veuve (5)

... les dragueurs m'ont prise à deux, l'un dans mon cul, l'autre dans ma chatte, elle a regardé l'opération avec intérêt et a demandé qu'on lui en fasse autant. Inutile de vous dire qu'ils ne se sont pas fait prier. Kléber lui a léché le trou du cul et Léo s'y est introduit sans grande difficulté, la laissant le regard exorbité et la bouche grande ouverte, doublement pénétrée pour la première fois de sa vie. Ils lui ont éjaculé dessus et elle a filé à la douche pendant que je "finissais" mes deux dragueurs à coups de langue. C'était vraiment très cochon, cette histoire, et je me félicitais d'y avoir entrainée ma psy dépressive... qui ne l'était plus du tout.

Le lendemain, après une bonne grasse matinée qui nous a conduites jusqu'à l'heure du déjeuner, Ariane m'a remerciée tout en m'avouant qu'elle ne s'était pas reconnue.

- C'est la première fois que j'ai eu vraiment conscience du mot "baiser" et j'avoue que ç'a été une révélation pour moi. Comment tu as fait toi aussi pour en arriver là ?

- C'est une longue histoire car cela ne s'est pas fait en un jour. Disons que le me suis décoincée petit à petit parce que j'ai laissé parler mes hormones au lieu de mes principes.

- J'en suis bourrée, de principes, c'est mon drame. Je crois que mon mari me quitte à cause de ça. Tu crois que je peux le récupérer en me lâchant comme cette nuit ?

- Oui, je le crois, mais il faut qu'il sache d'abord que tu baises pendant ces vacances. Je dois rentrer ce soir, mais je vais te ...

... laisser les clés de mon appartement. Profites-en pour t'éclater. Tu es belle et désirable, tu auras l'embarras du choix.

Et c'est ainsi que j'ai quitté Ariane après avoir fait un dernier passage à la plage naturiste où elle fit à nouveau admirer son corps et, je crois bien, fait une touche.

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(deux semaines plus tard). Je reprends ma narration après avoir laissé Ariane à La Palmyre. Après son retour une semaine après, elle m'a demandé par texto si je pouvais lui conseiller une crème vu, disait-elle, qu'elle avait le vagin et le petit trou douloureux. J'en ai conclu qu'elle avait suivi mes conseils à la lettre et c'est tant mieux. Pour ma part, j'avais prévu une semaine de randonnée avec Marie, l'animatrice de l'Ehpad, et son copain Cédric, qui m'avaient gentiment invitée dans leur gite de l'Aubrac, une région que j'adore. Marie, c'est le genre costaud, beau visage encadré de cheveux brun roux mais taillée pour une équipe (féminine) de rugby (1,70m, 70 kg). A côté d'elle, je fais toute frêle. Cédric lui est parfaitement assorti puisqu'il pourrait jouer deuxième ligne dans une équipe (masculine) de rugby (1,90m, 90 kg). Avec eux, j'étais tranquille, pas de risque d'agression. Marie marchait en short court, nullement complexée par ses grosses cuisses musclées et son volumineux pétard. Lorsqu'elle se trouvait en tête, son compagnon avait les yeux sur ses rondeurs en mouvement, qu'elle accentuait parfois avec un rien de provocation. Cédric lui mettait la main aux fesses ...