La rencontre
Datte: 23/05/2020,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
inconnu,
religion,
voyage,
amour,
cérébral,
revede,
Masturbation
pénétratio,
init,
mélo,
délire,
initiatiq,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... mâle, se laisse faire, les yeux fermés, la bouche entrouverte. Elle exhale des petits cris à chaque pénétration.
Le bruit de machine provenait probablement de la superposition de ses gémissements et des râles de son étalon. Il faut dire qu’il ne se ménage pas. D’où je me trouve au sortir de ma chambre, je peux voir sa puissante queue entrer et sortir de la vulve distendue de la fille. Il la chevauche en missionnaire et l’écrase contre le sol. De son côté, elle a enroulé ses jambes autour de sa taille et suit le rythme tant bien que mal. Entre les fesses de l’homme apparaissent deux boules gonflées, remontées jusqu’à la garde. Il est visiblement prêt pour le grand saut.
Indépendamment du choc que cela me fait de voir deux humains baiser à même le sol de ma maison, je dois reconnaître que cette cavalcade est fort bien menée. Ils ont probablement dû s’exciter mutuellement au cours de la matinée, jusqu’à perdre le rythme et surtout le goût de la marche. J’imagine la fille, tanguant des fesses devant son compagnon, tout au long du chemin pierreux et raide des Fenestrettes. Combien de fois a-t-il tenté de la saisir au vol, pour la plaquer contre son membre impatient ? Combien de fois lui a-t-elle échappé, jusqu’à ce qu’il arrive enfin à s’emparer d’elle, hors d’haleine, suant à grosses gouttes, pour la peloter sans ménagement, à la mesure de son envie ?
A-t-elle eu pitié de lui, avait-elle encore un reste de désir au fond du ventre, après une nuit torride entre ses ...
... bras ? D’une manière ou d’une autre, elle a bien dû se laisser séduire, se prendre à son jeu jusqu’à ce que, n’y tenant plus, ils se précipitent sous le premier couvert venu, chez moi en l’occurrence, pour apaiser leurs sens exacerbés.
Un dernier regard jeté sur le couple me permet de distinguer sur eux les secousses caractéristiques de l’explosion finale. Ils devraient conclure prochainement. Je m’éclipse dans la cuisine et me sers une tasse de café. J’essaie même de me concentrer sur le travail que j’ai à accomplir cet après-midi. Pourtant, sans chercher à écouter ce qu’ils font, je ne peux manquer d’entendre une courte série de grognements qui caractérise la fin du rut chez le mâle humain. Etrangement, la femme ne semble plus manifester autant d’enthousiasme que son partenaire. Elle se contente de l’encourager mollement, jusqu’au moment où, de toute évidence, il se lâche en elle en proférant un chapelet d’onomatopées salaces.
Après cela, tout redevient calme, mis à part le souffle puissant du bonhomme qui s’est probablement effondré sur le corps qu’il vient de posséder. J’en profite pour déguster mon breuvage avec sérénité. Trois gorgées plus tard, je réalise que la respiration du gars devient de plus en plus profonde et régulière, qu’elle basculerait même dans le ronflement. Mon énervement d’avoir été sorti sans ménagement de ma sieste fait place à de l’hilarité. Quel mufle, ce type, quel nul de laisser ainsi sa compagne insatisfaite, dans une maison inconnue et de ...