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Félicité
Datte: 20/05/2020, Catégories: fh, fsoumise, hdomine, contrainte, Masturbation massage, Oral pénétratio, fsodo, uro, sm, Auteur: Umi, Source: Revebebe
... si jouissifs qui la rendaient folle. Assise sous la pergola d’où tombaient en cascade des clématites d’un indigo profond, elle rêvait de sa queue. Il la prenait par tous les orifices, la faisant hurler de jouissance. Il la traiterait de salope alors qu’elle se cambrerait afin de lui donner son cul en offrande, lui dirait qu’elle était sa chienne, son esclave et cela l’exciterait beaucoup. Elle s’imaginait prendre son membre tendu dans sa bouche et lui montrer tout le talent de suceuse dont elle était capable. Elle commencerait lentement, l’enfournant progressivement, passant sa langue sur son dard affûté jusqu’à le gober entièrement. Il lui prendrait la tête à pleine main lui intimant des mouvements de va-et-vient. Elle titillerait son gland jusqu’à l’explosion suprême et il giclerait en elle lorsque son plaisir serait au paroxysme. Elle avalerait sa substance, son jus divin, le lécherait jusqu’à ce que la dernière goutte soit avalée. Dans la chaleur de cette fin d’après-midi, elle se branla longuement. M lui avait ordonné de le faire chaque jour en pensant à lui. Pour commencer, elle introduisit un petit gode dans son anus qu’elle devait garder en elle le ...
... plus longtemps possible afin de l’éduquer à recevoir sa grosse queue dure, puis ses doigts plongèrent au plus loin dans son ventre, ses mains jouant avec ses seins et ses aréoles, et son clitoris déjà en feu. En guêpière de fin tulle, porte-jarretelles et talons aiguilles, elle se sentait plus que jamais femme, comme jamais auparavant elle ne l’avait été. Elle aimait faire la garce. Son esprit vagabondait alors qu’elle lisait le roman que M lui avait offert après leur seconde entrevue. Elle mouillait abondamment mais tentait de retenir au maximum la vague qui la submergerait. Le passage qu’elle lisait au moment où l’orgasme la prit relatait une scène dans laquelle l’héroïne se faisait violemment fouetter par son Maître parce qu’elle n’avait pas suivi ses consignes à la lettre. Ils étaient au cinéma et elle devait se lever de son fauteuil afin d’ôter le jouet qu’il avait inséré dans sa chatte avant le début de la projection. Morte de trouille, elle avait trouvé un subterfuge. Ce qui déplut grandement à son Maître. L’onde de plaisir laissa S dévastée sur le transat où elle reposait. Pourquoi ne l’avait-il pas appelée ? S se sentait comme une orpheline délaissée.