Félicité
Datte: 20/05/2020,
Catégories:
fh,
fsoumise,
hdomine,
contrainte,
Masturbation
massage,
Oral
pénétratio,
fsodo,
uro,
sm,
Auteur: Umi, Source: Revebebe
... ma bouche, maître, réussit-elle à articuler.
Il la quitta brutalement et déjà elle était sur lui, le léchant de haut en bas, prenant ses bourses entre ses lèvres, sa langue s’agitant en tout sens. Elle aspira le gland avidement. Qu’il était bon de le posséder enfin, comme elle le désirait depuis le début ! Jamais elle ne se serait crue capable d’un tel lâcher-prise. Son époux aurait eu bien du mal à la reconnaître dans cette catin déchaînée, cette ogresse assoiffée de foutre.
Elle allait et venait, jouant le rôle de vagin ou d’anus oral à présent. Elle avalait et relâchait sa bite dans un mouvement hydraulique impitoyable. Une autre fois, elle songerait aux mille et une subtilités d’une fellation sophistiquée. Qu’il vienne, qu’il vienne !
Dans un râle qu’elle bénit, il lâcha tout. Comme elle en avait rêvé la vision, la moisson était abondante, remplissant sa cavité mais débordant aussi pour couler sur le bord de sa bouche et goutter sur ses cuisses. Elle avala comme une récompense la crème qui la couronnait suceuse émérite. Elle embrassa le sexe pourvoyeur, en balaya son visage, nettoyant les gouttes qui affluaient encore. Elle atteignait et dépassait le nirvana. Elle se sentait tellement sa chienne, utile et efficace. Il s’allongea et elle se lova contre lui, la tête sur son ventre, le nez contre son sexe qu’elle regardait tendrement rapetisser. Comment cette petite chose fragile avait pu la défoncer de façon aussi guerrière ?
— Viens.
Il s’était relevé et ...
... avait ouvert rideaux et fenêtres. Il sortit dans le jardin, la traînant à sa suite, enchaînée, titubante sur ses hauts talons. Il la faisait passer devant lui, admirant ses courbes. Il s’assit sur un banc, près d’une fontaine pleine de chérubins. Elle s’assit dans l’herbe à ses pieds. Bercé par la chanson de l’eau, quelques oiseaux, il écarta les jambes. Docilement, elle se remit à le sucer toute en douceur.
L’après-midi s’écoulait, ils se déplaçaient dans le jardin. Il la pénétrait en diverses positions. Il affirmait sa propriété. Chaque accouplement, parfois fugace, parfois plus poussé, rappelait sa maîtrise totale sur elle, l’acceptation totale de sa compagne. Il la fit se branler sur la margelle d’un puits et elle jouit pour lui, lui dédiant le plaisir qui la saisissait, d’autant plus fortement qu’il était là pour s’en nourrir.
Elle fut triste d’avoir à se séparer de lui, mais le moyen de faire autrement ? Elle songea que si son mari avait envie d’elle cette nuit, comme il lui arrivait parfois, tandis qu’il se satisferait en elle sans un mot, anonyme, elle penserait à son maître et au bonheur qu’il lui avait dispensé.
* * * * * * *
Seule…
Une semaine s’était écoulée depuis leur dernière séance.
S percevait le manque la tarauder de plus en plus. Comme elle avait envie de sentir le cuir de la laisse sur son cou et de se laisser envahir par la voix envoûtante, enivrante de son Maître.
Elle était sa pute et voulait l’entendre lui dire les mots dégradants et ...