1. Tôt le matin


    Datte: 19/05/2020, Catégories: fh, amour, pénétratio, extraconj, Auteur: Libertin72, Source: Revebebe

    ... Jean au contact électrisant du tissu. Sur l’épaule dégagée par une fine bretelle, il dépose un baiser très doux, deux, cinq, vingt qui remontent dans le cou, à la base de l’oreille. La femme dort toujours profondément mais (est-ce un effet des baisers ?) ses fesses dénudées par la chemise trop courte viennent se loger contre le ventre de Jean. Elle se tortille doucement, ondule des hanches pour s’emboîter plus étroitement contre le corps de son amant.
    
    Le sexe de Jean se dresse entre les fesses de la femme endormie ; impatient, il cherche son chemin, se tend pour glisser entre les globes offerts. De la main, Jean guide doucement sa verge entre les cuisses jusqu’à toucher les lèvres encore fermées. Il reste là, sans bouger, laissant son amante endormie se caresser sur sa verge par des ondulations de plus en plus amples. Lui se contente de légères pressions sur la hanche à travers la soie, comme pour l’encourager dans ses mouvements de bassin. Puis sa main caresse le ventre, remonte jusqu’aux seins qui pointent à travers le tissu. C’est au moment où les lèvres, déjà gonflées, se sont ouvertes, que la femme commence à s’éveiller. Même si elle lutte encore pour prolonger la torpeur de la nuit, Jean n’en peut plus d’attendre et il commence, presque malgré lui, de lents allers-retours contre ce sexe maintenant détrempé, poussant de plus en plus loin en avant, son gland qui vient maintenant caresser le clitoris
    
    Ce matin, Jean a oublié que les montres ont des ...
    ... aiguilles.
    
    Enfin, dans un grand bâillement, la dormeuse s’étire en se retournant pour venir se blottir contre la poitrine de Jean
    
    — Hummm, bonjour chéri, j’ai très envie de toi.
    
    Alors, joignant le geste à la parole, elle bascule son amant sur le dos et vient s’asseoir sur son ventre en saisissant la verge avec laquelle elle se caresse le clitoris puis qu’elle fait aller et venir entre ses lèvres, la laissant entrer de quelques millimètres de plus à chaque passage. Enfin, n’y tenant plus, par des mouvements très lents de hanches, elle s’empale très doucement sur le membre tendu jusqu’à ce que le choc presque douloureux des deux pubis interdise toute progression.
    
    Jean l’a saisie par les hanches et, projetant son bassin vers le plafond, se cloue en elle, la cloue au ciel. Puis Jean retombe doucement vers le lit et alors commence la danse lascive des deux amants. La chemise de nuit a, depuis bien longtemps, rejoint le sol de la chambre et la femme caresse le torse de Jean de ses seins tout en faisant de larges mouvements de reins, cambrée au maximum pour sentir toute la longueur de la verge frotter sur son clitoris à chaque aller-retour. Puis, rejetée en arrière, empalée au maximum, elle ondule des hanches, excitant au maximum le clitoris écrasé entre les pubis.
    
    Une fois, deux fois, dix fois, qu’importe… Elle inonde Jean de son plaisir, gémit sa tendresse, monte vers le plafond, redescend.
    
    Ce matin, pour Jean, la terre s’est arrêtée de tourner et le temps est figé dans la seconde ...