Prof hier, amante aujourd'hui
Datte: 19/05/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
... intensément ce coït. C'est alors que le mari déclara à Benjamin :
- Encule la maintenant, elle n'attend que ça.
Instantanément, Caroline Bernard, prof d'anglais au lycée, se mit en position, cambrée, en attente, indiquant simplement en s'écartant les fesses :
- Lèche moi d'abord.
Benjamin pointa sa langue dans le délicat anneau, l'humecta abondamment et engagea son gland turgescent à petits coups jusqu'au moment où les sphincters se relâchèrent. Elle poussa alors un râle profond et balança sa belle croupe fendue de contentement. Benjamin comprit alors qu'il n'allait plus pouvoir se retenir et qu'il éjaculerait dans son rectum. C'était trop bon. Et il gicla un liquide abondant et épais qui agit comme un lavement dans le fondement de la rousse, laquelle poussa un cri strident qui témoignait de sa jouissance. Hubert grogna à l'unisson et Benjamin se demanda si lui aussi n'avait pas éjaculé. Caroline fila aux toilettes, visiblement prise d'un besoin urgent tandis que Benjamin s'affalait sur le canapé en se tenant la queue qui, déjà, dégonflait. Il avait du mal à réaliser qu'il avait baisé, sept ans après, celle qu'il matait derrière son bureau...
********
Ce fut une liaison courte mais d'un érotisme torride qui marqua profondément les deux protagonistes. Benjamin se rendait presque chaque soir au domicile de son ancienne prof d'anglais, parfois pour dîner, parfois non, mais la soirée se terminait invariablement sur le canapé. Le plaisir immédiat du jeune ...
... homme consistait à glisser une main sous la jupe de Caroline, de caresser longuement ses belles cuisses charnues, de les sentir s'ouvrir, de glisser un doigt sous le slip puis de le faire glisser (quand il y en avait un) et de titiller sa fente de plus en plus humide. Puis il la dévêtait lentement pendant qu'elle libérait son dard pour le sucer et ils variaient les plaisirs sur le canapé sous l'oeil attentif du mari, invariablement présent. Un coup un cunni, un coup un 69 qu'ils prolongeaient à plaisir avant l'instant sublime de la pénétration. Caroline appréciait particulièrement s'empaler sur son amant assis et le chevaucher face à son mari, lequel commentait leurs ébats en se tripotant la queue.
- C'est bon, hein ? Il te baise bien, hein ? Tu la sens bien sa bite, hein ? Elle est dure, hein ?
Et Caroline approuvait en haletant et en regardant son mari droit dans les yeux. La manière dont elle se levait pour mieux se laisser tomber sur la bite dans un bruit à la fois mouillé et claquant en disait long sur son appétit de pénis. D'autant qu'une fois bien empalée, elle tortillait des hanches pour que le dard la frotte dans les recoins de son vagin surexcité. Benjamin ne voyait pas son visage mais il devinait son expression à en juger par le regard de son mari, fasciné par la virilité et la puissance du jeune homme, lequel avait l'impression que Caroline et son mari baisaient ensemble par son truchement ce qui n'était pas très glorieux pour l'acteur principal.
Aussi ...