1. Prof hier, amante aujourd'hui


    Datte: 19/05/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... son pantalon, copieusement rempli.
    
    - Et toi aussi, riposta Benjamin, qui avait glissé un doigt fureteur entre ses cuisses enfin découvertes par la courte robe et apprécié l'humidité de son sexe. Enfin, il les caressait, ces cuisses si douces au toucher, ces cuisses qui l'avaient fait tant rêver, ces cuisses qui s'ouvraient à ses caresses, comme dans un rêve. Elle ne s'y trompa pas en lui disant :
    
    - Tu attendais ça depuis longtemps, hein, petit mateur. Tu crois que je ne te voyais pas en train de regarder mes cuisses en cours ?
    
    - Non, je ne le croyais pas. Je ne croyais pas que tu me montrais sciemment ta culotte, petite cochonne.
    
    - J'adore m'exhiber et ça m'excitait de savoir que toi et d'autres se masturbaient le soir en pensant à moi.
    
    - Tu as envie de baiser, là ?
    
    - Enormément. J'ai envie de voir ta grosse queue et de la sentir en moi.
    
    - Qui t'a dit que j'ai une grosse queue ?
    
    - Devine.
    
    - Je vais te défoncer, ça t'apprendra.
    
    - J'espère bien. Mais lèche moi d'abord. Et ne t'occupe pas d'Hubert, il aime mater.
    
    Caroline fit passer sa robe par-dessus sa tête et se découvrit entièrement nue. Benjamin profita d'abord du spectacle de cette peau laiteuse parsemée de taches de rousseur, de ces seins larges rebiquant vers le haut comme un défi et de cette chatte fauve et poilue où il fondit le mufle en avant, s'attirant illico un roucoulement de satisfaction. Enfin ! se disait-il, je la vois de près, cette chatte tant désirée.
    
    Puis Benjamin ...
    ... se mit nu à son tour et offrit son pénis tendu à la bouche de Caroline qui s'en délecta avec quelques mots flatteurs pour son égo de mâle. Car rien ne plait plus à un homme que d'être complimenté sur sa bite par une femme.
    
    Par la suite, ils profitèrent de toutes les possibilités offertes par le canapé, bien meilleur outil qu'un lit pour une belle partie de cul. Benjamin allongea Caroline, lui mit un pied sur le dossier et l'enfila recta, fouailleur et dominateur, oubliant totalement qu'à quelques mètres, Hubert les regardait en tripotant sa bite molle. Benjamin besognait et limait en se délectant de son regard pétillant, de la houle des seins plantureux à chaque coup de reins, de ses jappements de plaisir, de la pression de ses talons pour mieux l'enfoncer en elle. Il ne baisait pas sa collègue : il baisait sa prof, son ancienne prof. Quand il la prit en levrette, il lui pétrit les seins par en-dessous, fit claquer sa peau contre sa croupe et faillit remonter d'un cran pour l'enculer avant de différer l'opération. Trop tôt. Il voulait d'abord la voir le chevaucher, de face, de dos, lui couché ou lui assis, selon l'inspiration du moment. Il avait envie de voir son cul blanc aux globes bien séparés en mouvement, envie de lui lécher les nibards, lui montrer qu'il était dur longtemps et profiter pleinement et durablement de son corps laiteux. Ils baisèrent face à Hubert qui intervint pour demander à sa femme si elle prenait son pied. Question superflue tant Caroline vivait ...
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