Kinshasa - Kaboul
Datte: 06/04/2018,
Catégories:
fh,
couleurs,
couple,
voyage,
amour,
odeurs,
Oral
pénétratio,
jeu,
aventure,
amourdura,
Auteur: Jean Balun, Source: Revebebe
... d’excitation. Je ne puis me retenir et l’attrape au milieu de la chambre, une fragrance de cannelle et de vanille taquine mes narines. De la main, elle me repousse :
— Tu ne peux me toucher qu’avec ta bouche et ta langue. Quand tu auras tout enlevé, je serai à toi, mon amour. Mais pas avant !
Elle s’est couverte de crème de la tête aux pieds, la petite perverse…
Je commence par lui lécher les oreilles, puis le cou, lui arrachant des gloussements :
— Ouh ! Hi ! Tu chatouilles !
— C’est toi qui l’as voulu !
Puis je m’agenouille et, partant de la cheville, je monte le long de son mollet, contourne le genou, me glisse entre ses cuisses, puis dévie vers la hanche, délaissant l’entrejambe, malgré l’invite de son compas ouvert. Je renouvelle l’opération plusieurs fois. Je la sens frémir, l’entends soupirer de plus en plus vite, de plus en plus fort. D’abord la jambe gauche, puis la droite, sont ainsi débarrassées de cette crème au goût suave, mais indéfinissable, sans lien avec son parfum. À chaque fois, je m’échoue sur son aine, en effleurant presque sa petite motte, la laissant languissante. Je me fais violence pour ne pas plonger sur ce joli fruit rose et brun, palpitant et luisant de crème et de cyprine.
Je m’attaque ensuite à ses bras, puis à son visage, je butine ses yeux, son front, son nez, le menton, savoure ses joues, évite sa bouche, malgré ses protestations, ses menaces, ses prières.
— Jean, tu es un salaud, un sadique !
— C’est toi qui l’as ...
... voulu !
Sa petite toison est lavée, lissée avec soin. Surtout résister à l’appel de son petit bouton dressé, à la senteur musquée, entêtante, qui couvre celle de la crème ! Héroïque et stoïque, je remonte vers le nombril légèrement proéminent, que je laisse propre comme un sou neuf. Tout son ventre est devenu le terrain de jeu de ma langue, de ma bouche. Elle n’a pas réussi à s’en mettre sur le dos, ouf !
Je la pousse vers le lit, la couche en arrière, les pieds toujours posés au sol.
Maintenant, le plat de résistance avant le dessert, je récure rapidement le haut de sa gorge, puis le pli sous ses seins, je les contourne, les cerne. Je décris des huit, passe de l’un à l’autre, Lydia gémit de plus en plus, s’agite, je dois lui tenir les mains pour l’empêcher de m’imposer le chemin de ma bouche.
Enfin, le téton du sein gauche est en vue, je l’évite, marque de la pointe de la langue l’aréole chocolat foncé. J’attaque l’autre colline. Lydia commence une danse de Saint-Guy, essaie de m’échapper, me traite de pervers.
Quand enfin je me jette sur ses tétons dressés que je torture d’un ballet lingual endiablé, un grognement de satisfaction lui échappe :
— Enfiiiiin !
— C’est toi qui l’as voulu !
— S’il te plaît, ne me laisse pas comme ça, viens ! Je te veux !
— Non, non, je n’ai pas encore fini ta toilette !
Maintenant pour terminer mon repas, un joli abricot au sirop, que je déguste délicatement, d’abord les grandes lèvres, puis les nymphes roses et nacrées, la ...