L'abricot magique II
Datte: 18/05/2020,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
fdomine,
Auteur: Like a Princess, Source: Revebebe
... vas t’asseoir sur le même siège que ta Princesse. Allez, dépêche-toi, lui intima-t-elle en tirant de façon saccadée sur la laisse.
— Pitié, Princesse, je n’y arriverai jamais si tu fais bouger mon zizi comme ça !
— Dix secondes : dix, neuf, huit… décompta-t-elle en laissant enfin son membre tranquille.
Il avait enfin réussi à se satisfaire et elle l’avait laissé dans la cuisine, préparant la côte de veau aux morilles qu’elle lui avait demandé de cuisiner. Elle passait régulièrement voir l’avancement des opérations, se penchant sur lui, caressant une fesse, pinçant un téton, tirant sur la laisse qui pendait maintenant entre ses jambes, mordillant une oreille. Il avait du mal à se concentrer, mais n’osait bouger et protester.
La cuisine fut finalement très réussie, malgré les conditions spéciales de sa réalisation. Ils mangèrent comme si de rien n’était, assis tous les deux l’un en face de l’autre à la même table que d’habitude, avec les mêmes couverts, aux mêmes places. Tout au plus la conversation fut-elle un peu asymétrique, il n’osait pas la contrarier et elle de son côté n’hésitait pas à le provoquer verbalement sur des sujets qui le faisaient d’habitude s’enflammer. Elle le provoquait également physiquement de temps à autre, soit en manipulant ostensiblement la clef de sa cage qu’elle ressortait pour ce faire de son corsage, soit en tendant sa jambe sous la table pour lui stimuler l’oiseau en jouant avec la cage sous le tablier. Cela le mettait dans tous ses ...
... états, son membre contrarié tentait instantanément de se déployer, ce qui le déconcentrait totalement dans la conversation.
Ils regardèrent tranquillement un film et allèrent se coucher. Elle se mit elle-même en cuillère autour de lui, tenant entre ses mains la preuve de son pouvoir, la petite cage qui renfermait la virilité vaincue de son petit mari. Elle s’endormit sans tarder dans une certaine béatitude tandis que lui, avec les sens aiguisés, la frustration accumulée, le corps saturé d’hormones, restait les yeux ouverts se demandant dans quelle galère il s’était embarqué.
Le réveil fut pour lui douloureux, son érection matinale contenue par les barreaux d’acier ne lui laissait pas de répit, ses sens déjà alertés. Il attendit une éternité dans le noir qu’elle se réveille, mais elle semblait partie avec les anges, le visage serein et la respiration régulière, à peine marquée par un très léger et gracieux ronflotement.
Lorsqu’enfin elle ouvrit les yeux, sa première action fut de tendre sa main pour attraper la cage, comme pour s’assurer qu’elle n’était plus dans un rêve. La seconde fut, en se mettant sur le côté en position fœtale, de lui demander « plein de petits bisous sur les fesses ». Il plongea sous la couette pour s’exécuter, effleurant avec ses lèvres l’ensemble de ses fesses, depuis le haut des jambes jusque dans le bas du dos, s’attardant sur la peau si douce de l’intérieur des cuisses, léchant avec la douceur d’une plume le sillon de ses fesses jusqu’à la ...