Orage sur la banlieue
Datte: 16/05/2020,
Catégories:
fh,
vacances,
parking,
ascenseur,
douche,
amour,
hsoumis,
fdomine,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
attache,
jouet,
Auteur: Ugluk, Source: Revebebe
... compris que ma tenue l’excitait terriblement. D’ailleurs son slip ne parvenait plus à dissimuler son trouble. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je me suis approchée de lui et je l’ai embrassé. Il m’a assise sur la table et m’a fait l’amour, là, dans la cuisine. J’avais rarement connu un tel plaisir et j’ai poussé un cri de trop. Yoanne s’est réveillé et nous a surpris. Il m’a fait une scène et a quitté sur le champ l’appartement. Depuis il ne veut plus me voir. Le pire, dans tout ça, c’est que je ne regrette rien… Enfin si… Michel s’est fait jeter dehors. Il est parti sans laisser d’adresse et moi, j’aimerais bien le retrouver. Voilà ! Et toi ? As-tu rencontré l’homme de ta vie ?
Je lui raconte alors ma triste expérience en ce domaine. Je ne m’attarde pas trop, pour ne pas remuer le couteau dans la plaie. Finalement, j’en viens à l’épisode de la nuit dernière.
— Il faut que je te dise. Ce que j’ai raconté à Marie-Rose, pour hier soir, n’est pas entièrement exact. En fait, ce n’est pas un garagiste qui a réparé ma voiture mais un garçon qui bricolait dans le garage…
Je lui décris ma rencontre avec Julien et je termine sur la folie qui m’a poussée à le laisser me faire l’amour sur le parking. Bien sûr, je n’ose pas lui raconter tous les détails de cette soirée de délire, me contentant de lui préciser que j’y ai pris un immense plaisir. À la fin de mon récit, nous éclatons mutuellement d’un rire complice, comprenant que nous ne sommes pas tellement différentes l’une de ...
... l’autre. À cet instant, une grosse moto fait irruption dans la cour.
— C’est Yoanne, m’explique Isabelle. C’est lui qui s’occupe des chevaux et du nettoyage de la piscine maintenant.
De la terrasse, j’observe le jeune homme qui descend de sa moto. Il est complètement harnaché de cuir. Son casque intégral ne me laisse voir que ses yeux. Un regard à la fois viril et réservé, qui finit par se poser sur nous. Le garçon nous salue, retire ses gants et son casque, passe sa main dans ses cheveux pour leur redonner du volume et se dirige vers les écuries.
— Pas mal, hein ? me lance Isabelle d’un air très malicieux.
— Hum ! Hum ! Fais-je en acquiesçant. Dis-moi, aurais-tu des vues sur lui ?
— Oh ! Pour qui me prends-tu ? Non ! N’empêche que je ne lui résisterais certainement pas très longtemps, finit-elle par m’avouer.
Nous rigolons comme deux folles. Nous décidons de passer l’après-midi à nous faire bronzer, au bord de la piscine. Lorsque Yoanne arrive pour procéder à l’entretien de l’eau, je m’amuse à observer le regard admirateur que lui porte Isabelle. Lui, timide, pose furtivement ses yeux sur nos corps à demi dénudés quand il passe près de nous avec l’épuisette. De mon côté, je ne parviens pas à penser à autre chose qu’à Julien. Il me tourmente. Je n’arrive même pas à me concentrer sur la lecture de mon magazine. Isabelle s’en aperçoit.
— Je parie que tu penses à ton mécanicien !
— Comment as-tu deviné ?
— C’est simple, il suffit de t’écouter parler de lui pour ...