28 ans - Histoires de Sexe

28 ans

... s’énerva :

— Putain, tu me la mets, s’il te plaît, j’en peux plus, j’en ai trop envie.
— Je sais pas si tu l’as méritée, est-ce que tu en as vraiment envie ?
— Oui, j’en peux plus, remplis-moi, donne-moi de bons coups de bite.

Paul décida d’abréger les souffrances de la pauvre Marine et s’introduisit d’un coup dans sa petite chatte, ce qui fit pousser un « Oh » de jouissance et douleur à la jeune femme. Il se retira ensuite totalement, puis se réintroduisit en entier. Ils étaient partis tous les deux dans les va-et-vient qui font le bonheur des couples amoureux, et ils continuaient à parler pendant l’acte :

— Ah, tu aimes ça, hein, dis-le que tu aimes ça.
— Oh oui, j’aime quand tu me baises sauvagement, que tu me prends bestialement.
— Qu’est-ce qui t’excite donc tellement ?
— Tes coups de bite, c’est trop bon, avoua la jeune échaudée.

Et il lui en donna. Autant qu’elle en réclamait. Elle criait. Ça ressemblait à des feulements très doux, les uns après les autres, des cris mais pas des hurlements. La respiration accélérée, Marine savait que ça ne tarderait pas. Elle jouit, vite, un cri strident et bref perça au milieu des cris miaulés.

C’est là qu’il se retira. Elle protesta :

— Pas maintenant, je veux encore et je veux ton plaisir.
— Sauf que tu ne commandes pas, dit Paul. Le roi dit pas « Je veux », et tu n’es pas reine, tu es juste Marine, c’est tout.

Il attrapa sa croupe et aspira la chair en haut des fesses, laissa une marque violacée, un ...

... peu rouge cernée de bleu. Contre toute attente, il rit. Marine fut désarçonnée et un poil vexée.

Il n’attendit pas la question.

— Je ris parce que je suis heureux, je respire ce soir Marine, je suis détendu, je suis bien. Le seul qui soit tendu c’est lui, en bas. Viens me sucer un peu.

Marine rit à son tour, et dit :

— Et si la reine ne veut pas ? Si la reine préfère se rhabiller et rentrer chez elle ?

Et elle se leva, remit son string, et regarda Paul d’un œil enjoué…

Paul commença à s’énerver, lui qui avait la bite à l’air et n’attendait que des mains et des lèvres délicates pour en prendre soin. Il s’approcha de Marine, l’entoura de ses grands bras, et lui dit en souriant :

— Alors mademoiselle nous joue la résistance maintenant ? Tu crois que tu vas t’en sortir comme ça ?

Et il prit sa tête et la guida vers son sexe tendu.

Marine se laissa faire de bonne grâce et approcha sa bouche de la queue de Paul en disant :

— Mmm… Et dire que j’allais passer à côté de cette petite friandise…

Et elle entoura la queue de ses lèvres en faisant des petits bruits indécents.

Paul était littéralement aux anges, il lui dit :

— Oh oui Marine, continue, c’est trop bon, ce que tu me fais
— Ah, tu aimes, hein, mon cœur ? Tu vas voir, tu vas bientôt me cracher tout ton sperme dans ma petite bouche.

Et Marine reprit son mouvement de succion, alternant avec de légers mouvements de sa main sur la belle bite de Paul.

— Non, tu n’y arriveras pas, je ne ...