1. 28 ans


    Datte: 13/05/2020, Catégories: fh, ff, ffh, jeunes, nympho, grosseins, caférestau, dispute, cérébral, entreseins, Oral 69, pénétratio, fsodo, hdanus, coprolalie, occasion, Auteur: Pierre, Source: Revebebe

    ... gonflée de ses petites lèvres… Marine se mit alors à lui dire :
    
    — Non, s’il vous plaît, pas par là, monsieur le professeur, je suis encore vierge, et ferai mes devoirs la prochaine fois - en regardant Paul avec un sourire et un regard qui voulaient tout dire.
    
    Paul songea à cette petite porte, c’était ça qu’elle voulait, qu’il entre par la porte de service. Or, sans crème, se dit-il… Marine s’offrait, les putes ne s’offrent pas ainsi, on les rémunère, Marine s’offrait et Paul était drogué d’amour, de sexe, à ce moment-là, ce moment bien précis, il planait, les idées pas claires, il planait de la maison close à l’état civil, de la prostituée à l’épouse. On n’est pas amoureux à ce stade de la rencontre, non, ce n’est pas raisonnable. Paul ne voyait plus très clair. Alors il s’allongea, attira Marine dans son bras ouvert, au-dessus d’elle il plaça son visage aux traits réguliers. Et il lui sourit.
    
    Elle se laissa bercer par ce sourire, tenir par ce bras tendre. Elle laissa. Paul lui dit des mots doux, presque inaudibles, elle en comprenait un sur deux. Belle… aimer… se poser… bagages… rester… partir… rester… Paul entoura Marine de ses deux bras, il la serra contre lui, seins contre torse, il avait envie d’elle, il avait envie d’elle plus que pour du sexe.
    
    Marine, charmée par ce moment de tendresse au début, accepta cette pause. Cependant, elle ne perdait pas de vue les faîtes du plaisir suspendu… Paul était en train de lui déposer de petits baisers sur son front, ses ...
    ... joues, sa nuque, ses seins, et Marine frissonnait ; elle lui rendit ses baisers, vorace, de manière irrégulière, en lui faisant de petits suçons dans son cou, sur son torse. Il la fixa droit dans les yeux, et lui dit :
    
    — C’est quoi, ce que tu es en train de me faire, là ?
    
    Marine sourit et recommença de plus belle à lui faire des suçons, en accentuant le bruit que faisaient ses lèvres sur le torse légèrement velu, juste ce qu’il fallait, de Paul. Paul reprit :
    
    — Bon mademoiselle, puisque vous ne savez pas être sage, je vais vous montrer comment on traite les jeunes femmes dissipées.
    
    Paul se releva, se mit debout, la bite gonflée, excitée par le spectacle qui s’offrait à elle : Marine, allongée sur le lit, sur le dos, un doigt dans la bouche, le regardait, le regard lubrique, avec ses seins qui ne pouvaient laisser indifférents et ses hanches pleines…
    
    — Mademoiselle, veuillez vous relever, mettez-vous à quatre pattes et surtout cambrez-vous bien.
    
    Marine fit comme demandé, posant sa tête sur l’oreiller, et ondulant légèrement de ses belles fesses. Paul plaça ses mains sur les hanches de Marine et, une fois qu’il la maîtrisa, approcha sa queue des petites lèvres de Marine, les effleurant et repartant, les effleurant encore et repartant encore… Marine se montrait impatiente, elle recula un peu pour chercher le contact, le moment où enfin leurs deux corps ne feraient plus qu’un. Mais Paul s’amusait à l’agacer, il savait bien qu’il aurait le dessus in fine. Marine ...
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