1. Les femmes de Gaïa


    Datte: 13/05/2020, Catégories: fh, ff, inconnu, Oral pénétratio, init, sf, Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe

    ... grand sourire vienne illuminer son visage.
    
    — Oh Marie, j’ai eu du mal à accepter ta simplicité, si peu en accord avec la réaction des femmes que j’ai connues. Mais, c’est toi qui as raison.
    
    Et il se déshabille devant moi.
    
    C’est bizarre. Nous appartenons à la même espèce et pourtant nous sommes si différents ! Ces épaules carrées, ces muscles marqués qui roulent sous la peau, ce ventre plat et tous ces poils un peu partout, c’est vraiment bizarre, un homme ! Et surtout, surtout, ce sexe orgueilleux, ce barreau épais, souligné d’un sac ventru.
    
    C’est plus fort que moi, ma main est attirée, il faut que je touche.
    
    Première surprise, c’est soyeux et doux, tiède et… ça glisse ! Seconde surprise, en dessous c’est dur et rugueux, un vrai rocher ! Mes doigts en font tout juste le tour et quand je tire un peu, un « champignon » rouge sombre apparaît. J’ai l’impression que ça grossit encore…
    
    Des flashes traversent mon esprit, des histoires de vieilles femmes parlant du sexe des hommes. Je suis comme aimantée, je me penche et vais tâter l’engin du bout de la langue. Odeur et goût sont à la fois tellement semblables et pourtant totalement différents du sexe féminin.
    
    Je ne pense plus, je lèche… je suce… j’engloutis…
    
    Sa voix me fait sursauter :
    
    — Va doucement, Marie. Ce n’est pas dans ta bouche que je voudrais t’offrir ma semence.
    
    En effet, le pénis de Vic commence à tressauter sous mes lèvres. J’arrête immédiatement, mais… que faut-il faire ? Je me sens vide ...
    ... tout à coup, je ne sais plus rien, je n’ai d’ailleurs jamais rien su. Je lui jette un regard désespéré, il me sourit tendrement et me fait relever. Il m’entoure de ses bras, je m’y réfugie. La force que je ressens me rassure, je suis bien. Je lève mon visage vers lui, il m’embrasse, je fonds…
    
    Au bout d’une éternité, il se recule légèrement et sourit encore :
    
    — Nous serions mieux sur un lit. Guide-moi vers ta chambre, ou la mienne.
    — Oh oui, bien sûr. Viens…
    
    Je le prends par la main et le mène vers ma chambre, je ne suis plus qu’un corps dénué de pensée. Tout mon être n’est qu’attente et désir. De quoi, je ne sais pas vraiment, mais Vic doit le savoir.
    
    Debout au pied du lit, il me serre dans ses bras et m’embrasse à nouveau. Je savoure sa langue impérieuse et ses mains puissantes qui collent mon corps contre le sien. Son sexe s’inscrit en creux dans mon ventre, une sensation que je découvre et qui m’émeut. Loin d’être inactives, ses mains caressent mon dos et mes fesses. Impressionnée par toutes ces émotions, je me réfugie dans ce que je connais le mieux, le baiser, auquel je participe avec ardeur.
    
    Il me soulève sans effort, me sourit et me dépose avec douceur en travers du lit. Je suis là, abandonnée, les bras en croix et les jambes ouvertes. Il me contemple. Son regard me réchauffe. J’attends. Moi qui ai toujours eu un rôle actif, dans toutes mes expériences sexuelles, je suis heureuse et satisfaite de me laisser faire.
    
    Il se penche, m’embrasse le ventre et ...
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