1. Les femmes de Gaïa


    Datte: 13/05/2020, Catégories: fh, ff, inconnu, Oral pénétratio, init, sf, Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe

    — Vic, ça y est, j’en suis sûre ! C’est bien une planète habitée que j’ai détectée.
    — Bizarre ! On est très loin des secteurs les plus visés.
    — Hé hé, c’est p’t’et un peu pour ça qu’on est là, non ?
    — Pétronille, ma chérie, je sais bien que je n’ai qu’une pauvre cervelle d’humain, mais je n’ai quand même pas oublié notre mission. Bon ! Qu’est-ce que tu peux me dire de plus ?
    — Planète semblable à la Terre. Un seul continent, une grande île plutôt. Il va falloir que je peaufine mes mesures, mais il semble que les durées du jour et de l’année ne s’éloignent pas beaucoup de la norme. Ça a l’air sympa, surtout le climat, une sorte de fin de printemps perpétuelle …
    — Mouais… et qu’est-ce qui t’a mis la puce à l’oreille ?
    — Les émissions radio. De la musique de composition humaine, c’est sûr ; quant à la langue, j’en ai encore trop peu, mais c’est d’origine européenne. Attends un peu…
    
    —oooOooo—
    
    De retour chez elle après une longue journée passée au laboratoire de procréation, Irène est accueillie par sa compagne Isa. Les deux femmes échangent un long baiser.
    
    — Irène, ma chérie, tu me sembles épuisée. Allons, laisse tomber tes soucis, détends-toi, viens !
    
    Isa entraîne dans la chambre la grande femme brune, aux formes peu marquées et au visage chevalin. Avec douceur, elle dégage le cou et déshabille les épaules pour les masser. Irène ferme les yeux, elle apprécie particulièrement ce moment de relâchement que lui offre son amie. Ses vêtements tombent peu à peu et ...
    ... chacune des zones dénudées est massée, caressée, câlinée. Elle est maintenant nue et totalement détendue, Isa la couvre d’un léger kimono de laine très fine.
    
    — Va t’allonger sur la terrasse, je te rejoins tout de suite.
    
    Baignée par la lueur rouge du soleil couchant, la terrasse est entourée d’un jardin luxuriant où de grandes fleurs multicolores exhalent leur doux parfum avant de se refermer pour la nuit. Irène s’allonge sur le grand matelas et ouvre le kimono pour se laisser caresser par la douceur de l’air. Les yeux fermés, elle goûte le silence qui l’entoure. Ni oiseau, ni insecte, seul est perceptible le bruissement de la légère brise qui accompagne la disparition du soleil et, au loin, le cri léger d’un enfant qui joue.
    
    Un baiser léger sur ses lèvres la sort de son engourdissement. Isa vient souplement de s’allonger à côté d’elle. La bouche glisse vers le cou, faisant frissonner Irène, puis descend sur les petits seins coniques dont les pointes se tendent vers les lèvres gourmandes qui les aspirent.
    
    — Isa, mon amour, tu es géniale pour me sortir de mes soucis.(Profond soupir.) Oh oui, continue, c’est si bon !
    
    Une main se détache de la poitrine qu’elle pressait pour descendre lentement vers le doux buisson brun qui tapisse le bas-ventre. Les doigts jouent un instant avec les poils avant de s’insinuer entre les cuisses qui s’écartent spontanément. Le bassin se relève à la rencontre de cette main, quêtant la caresse. Irène n’en peut plus, elle réclame :
    
    — Va, ...
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