1. Chiara


    Datte: 13/05/2020, Catégories: fh, hplusag, vacances, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, nature, Auteur: Mitchoum, Source: Revebebe

    ... de son vagin et elle l’engloutit illico. Elle se met à me parler en italien, fort, plein de trucs que je ne comprends pas, mais que je devine, alors je commence à la pistonner de plus en plus fort. Ma queue coulisse merveilleusement dans son fourreau, et mon majeur lubrifié de ses secrétions a investi son anus. Elle s’agite elle aussi tant qu’elle peut, elle me griffe le dos, se mord les lèvres pour ne pas crier, elle ne profère plus que des grognements, mais quels grognements ! Quand soudain elle se déchaîne dans un orgasme de magnitude sept, je suis moi-même envahi par l’onde de plaisir et je me répands en elle, joignant mes grognements aux siens.
    
    Et nous restons comme ça, continuant de nous embrasser, mais le froid commence à nous gagner, alors nous quittons notre position de repli. Les autres sont partis poursuivre leurs jeux ailleurs. Nous récupérons nos vêtements par terre, je l’enroule dans ma couverture et me mets à la frictionner car nous commençons à grelotter."Vieni". Pas de problème, nous sautillons tous deux, pieds nus, nous démenant pour garder sur le dos la couverture et échapper aux piqûres des moustiques et arrivons jusqu’à sa tente. Nous y attaquons aussitôt un joyeux pugilat dont l’objectif consiste autant à nous réchauffer qu’à retrouver la lampe de poche, et qu’à faire l’inventaire de nos corps toujours aussi follement désireux de se rencontrer.
    
    Pour la chaleur, ça revient en effet très vite, surtout dans l’espace exigu de sa tente. Pour ...
    ... l’éclairage, la lampe, sans cesse bousculée, dessine sur son corps une géographie étonnante. Quand, pendant un instant, le faisceau vient éclairer sa toison pubienne, j’y précipite la tête pour aller la brouter. L’époque n’est pas encore à l’épilation timbre-poste, et je me régale d’y fourrager des doigts et de la langue, avant d’aller me perdre aux rives inondées de sa vulve. Les traces de nos ébats de tout à l’heure y sont encore engluées, alors j’entreprends de la lécher, de lui faire la toilette pendant qu’elle-même me rend la pareille sur mon engin qui ne tarde pas à trouver ça très à son goût et à reprendre de la vigueur. Et puis qu’importe l’éclairage pour se livrer à un 69, mes mains trouvent si douces ses fesses, elles les réchauffent, les pétrissent, les malaxent. Elles s’aventurent à l’orée des lèvres et de l’anus, venant apporter leur contribution à l’œuvre méritoire entreprise par ma langue. Un doigt, puis deux, puis trois s’introduisent dans son vagin, son antre humide et tiède qui les accueille avec des spasmes de plaisir. Ils fouillent, explorent, s’attardent sur cette zone granuleuse, ce qui semble faire à Chiara beaucoup d’effet. Son bassin s’anime, danse, oscille, se tend. Sa respiration est haletante, elle gémit, profère de curieux sons de gorge, s’arque soudain complètement et jouit violemment. Pour moi, j’ai résisté je ne sais trop comment tant elle s’occupait de moi dans le même temps de ses mains, de ses lèvres, et de sa langue.
    
    Nous nous glissons dans son ...