1. Chiara


    Datte: 13/05/2020, Catégories: fh, hplusag, vacances, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, nature, Auteur: Mitchoum, Source: Revebebe

    ... discothèque. Nos demoiselles sont des proies toutes désignées pour les chercheurs de gibier qui hantent ces lieux (elles sont toutes mineures, entre 16 et 18 ans), mais elles affichent aussi la hardiesse, l’effronterie et plus encore les tenues qui les font immanquablement remarquer. Bref, ma collègue et moi passons une partie de la nuit à nous assurer qu’aucune ne disparaît trop longtemps, ne se trouve mêlée à des mecs cherchant la bagarre, ou ne se laisse délibérément saouler. Le séjour est également secoué par un problème de vol d’argent dans le vestiaire du chantier, dont l’auteur est évidemment l’une des nôtres que nous finissons par démasquer. Enfin, comprenez que même pour des gens de bonne volonté, manier la brouette ou le râteau ne procure pas à tout instant un enthousiasme délirant. Alors quand il s’agit de leur demander de charger une bétonnière, mon concours à moi n’est pas superflu.
    
    Donc, le séjour s’avance, et la fin elle-même s’en dessine alors que mon attrait pour la belle Chiara n’a guère franchi les limites d’une complicité certes souvent tactile, mais jamais engagée sur le chemin de la drague ouverte. C’est du moins ce que je veux croire en me tenant à moi-même un discours raisonnable. Pour être honnête, je cherche souvent son regard, j’aime passer à côté d’elle à table, et mes yeux s’attardent régulièrement sur ses tétons qui pointent arrogants à travers le jersey de son maillot, ne laissant rien ignorer d’une rotondité et d’une douceur qui me font ...
    ... rêver quand je vais me glisser seul à la nuit tombée dans ma tente.
    
    Pour la soirée de clôture, nous décidons d’organiser un feu de camp pour l’ensemble des participants au chantier. Repas un peu arrosé, le feu est allumé aussitôt après. À proximité de la rivière, la fraîcheur devient vite pénétrante, et nous allons tous chercher duvet ou couverture dans lequel nous nous encapuchonnons. J’ai sorti ma guitare et nous chantons tous de bon cœur, les yeux perdus dans le crépitement des flammes. Chiara est venue s’asseoir tout contre moi, et je peux sentir sa chaleur à travers ma couverture. Quand je pose la guitare, ma main rencontre la sienne, je la lui prends et la tiens bien au chaud dans la mienne, sans plus d’intention que de partager ce moment de bien-être. Elle ne retire pas sa main et vient appuyer sa tête sur mon épaule, et nous restons ainsi longtemps, les couvertures masquant un peu notre intimité aux yeux des autres.
    
    La nuit s’avançant doucement, nos filles abandonnent progressivement la proximité du feu pour regagner leurs tentes, ma collègue aussi. Une voix propose alors :
    
    — Vous venez jusqu’à la rivière ?
    
    Le message fait l’unanimité, et nous sommes sept ou huit, enroulés dans nos couvertures, à nous diriger vers l’eau. Chiara marche à côté de moi et me donne la main. Obéissant à une soudaine impulsion, je lui passe le bras autour de la taille. Elle se serre un peu plus contre moi puis s’arrête. Dans ce mouvement, elle vient se coller contre moi. La chaleur ...
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