Le choix de Brumaire
Datte: 10/05/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
pénétratio,
fsodo,
historique,
Humour
historiqu,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... maudites religions qui empêchent les hommes de se faire leur paradis sur terre !
Sans parler du fait que c’est une très agréable façon de forniquer sans craindre le « croissez et multipliez »…
Tandis que je m’enfonce en elle puis que je la pistonne pour bien lui faire sentir qui possède le manche, ma maîtresse agite ses fins doigts dans sa toison, taquinant impudiquement ce bouton mystérieux et sensible que, malheureusement, certains hommes ignorent ou délaissent. S’ils savaient que pareil bouton aide la femme à y revenir plus souvent, ils ne le négligeraient pas.
— Je sais que je vous le dis à chaque fois, adorable catin, mais votre cul est divin !
— Oui, je sais, mon ami. Mais j’aime vous l’entendre dire…
Enfiévré comme je suis, je ne résiste pas longtemps à l’envie irrépressible d’ouvrir mes écluses. Pourtant, je me freine du mieux que je puis, évitant de céder trop vite, malgré la concupiscence qui me taraude !
— Ah, mais quel cul ! Quel cul !
Mais les gémissements voluptueux de ma belle entreprise ne m’aident pas à ce contrôle, sans parler de tous les frémissements de ses hanches qui oscillent autour de mon pieu enfiché dans ses profondeurs.
— Quel bon cul ! Oh, quelle belle croupe !
— Oh oui ! Allez-y ! Encore ! Encore !
Alors je cède, je m’abandonne à cette vague de plaisir qui monte en moi, qui s’écrase sur la digue, forçant la moindre ouverture. Puis le barrage explose, la mer s’engouffre dans le fin chenal, j’inonde en longues saccades ce ...
... divin cul de ma semence tandis qu’elle jouit sous ses doigts englués !
— Ah que c’est bon de se répandre ainsi ! Ouiii, d’en mettre partout, partout, partoout !
Assurément, forniquer est la bonne façon de prier ce dieu inconnu, et j’y sacrifierais tous les jours de ma courte vie, et même de celle d’après !
En cette fin de Pluviôse (mi-février), sur la Grand-Place, une petite troupe vient d’arriver, accompagnée de quelques charrettes et d’un lourd véhicule. Mes deux indésirables, Loberger et Puissadin, sortent de leur grosse calèche. Ils ont le physique de l’emploi, c’est indéniable, mis à part que le premier est assurément plus enveloppé que le second. Je vois bien du coin de l’œil que les habitants voudraient déjà qu’ils repartent. Indifférents à l’ambiance plutôt glaciale malgré un gentil soleil pré-printanier, les commissaires s’avancent vers moi :
— Il fait bon chez toi, Citoyen !
— Bienvenus, Citoyens. C’est normal, nous sommes ici loin, au sud de Paris, dans une petite vallée protégée des vents et souvent de la pluie.
— Mais pas protégée des justes foudres de la Révolution !
Malgré la douce tiédeur du temps, cette réponse jette un froid supplémentaire parmi l’assemblée réunie pour accueillir les deux représentants. Je me dis que ces deux-là ne choisissent pas la meilleure façon de s’intégrer. Mais je pense que c’est le cadet de leurs soucis, ils veulent jouer aux petits chefs, et rester dans la ligne droite du Père Duchesne, alias Hébert.
Tandis que ...