1. France Belgique (1)


    Datte: 10/05/2020, Catégories: Erotique, Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... impossible de masquer ma monstrueuse érection qui déformait mon pantalon d’été !
    
    La danseuse sourit à nouveau d’un air enjôleur et manifesta un certain intérêt pour mon anatomie. Je ne suis pas Apollon, mais je ne suis pas non plus repoussant. J’inspire confiance ; les femmes m’apprécient, en général. Je commençai à applaudir, pensant la représentation finie, mais la jolie blonde ne l’entendait pas de cette oreille. Elle roula lascivement des hanches, écartant les jambes pour me présenter son intimité ; ses petites lèvres roses me parurent clairement humides, brillantes de rosée. En transe, la jolie blonde me présenta sa main droite, joignant majeur et annulaire, et pliant les autres doigts d’un geste sans équivoque : elle me demandait d’introduire deux doigts en elle ! Devant mon air interrogatif, elle hocha la tête en tendant le bassin vers moi.
    
    Indifférent aux touristes allemands qui s’agglutinaient autour du podium, je tendis la main droite et présentai deux doigts joints en avant. Opinant avec un sourire engageant, la jeune danseuse avança encore son ventre ondulant. La pulpe de mes doigts toucha enfin les lèvres intimes et je m’insérai peu à peu entre elles en glissant sur et dans la fente qui me sembla bien mouillée.
    
    Je portai mon majeur à ma bouche et le léchai : il était trempé. La danseuse fit la moue d’un air suppliant, balançant les hanches en un mouvement ensorcelant. Cette fois, je plongeai profondément les deux doigts dans son intimité liquide et ...
    ... brûlante, ne m’arrêtant qu’à la jointure. J’eus alors la surprise de ma vie : son vagin soyeux commença à se contracter, ses muscles intimes trayant mes doigts avec vigueur. Je crus éjaculer dans mon slip, récitant un mantra du Sar Rabindranat Balkany, seigneur de Levallois, pour résister.
    
    Voyant que je ne cédais pas, la danseuse libéra mes doigts de leur fourreau de chair et les porta à ses lèvres pour les lécher d’une langue agile, puis elle s’agenouilla devant moi pour être à ma hauteur et m’embrassa avec voracité. Je retrouvai avec délice l’odeur suave de ses liqueurs intimes dans sa bouche, avec ce baiser tendre et fiévreux à la fois. Stoppant l’effusion, elle sourit, manifestement aussi troublée que moi :
    
    — Bonsoir, je m’appelle Karine. Karine Clafoutis ; ne te moque pas.
    
    — Surtout pas, j’adore le clafoutis. J’en mangerais tous les jours. Moi, c’est Julien Lembis.
    
    Note de l’auteur : pour préserver l’anonymat des deux tourtereaux, je les appellerai Déborah et Anastase. Ensuite, dans un souci de sécurité, j’appellerai Déborah « Y » et Anastase « X ». Comme ça, bien malin sera celui ou celle qui parviendra à reconnaître sous X notre ami Julien Lembis, domicilié rue Choisnard à Rouen et travaillant à la préfecture ! Ne parlons pas de son épouse, Y, pour Karine Clafoutis épouse Lembis. Il serait en effet regrettable que les parents d’élèves de l’école primaire Jean de la Fontaine (où sont scolarisés leurs trois enfants) apprennent qu’elle dansait nue (et plus si ...