France Belgique (1)
Datte: 10/05/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
... changer les noms, rapport aux voisins et à nos boulots. Ne mets pas, par exemple, Julien Lembis rencontre Karine Clafoutis.
— C’est son nom de famille ? Comme le gâteau ?
— Oui. Alors c’est d’accord, tu changeras les noms ?
— Si j’écris votre histoire, bien sûr.
Assuré de garder l’anonymat, mon voisin de table se lança. En écrivain confirmé (et talentueux, note de l’éditeur, M. Xavier), je lui laisse la parole pour raconter :
C’est il y a huit ans. J’étais en stage à Paris et j’avais décidé d’en profiter pour me dévergonder. Alors je suis entré dans un club de Pigalle où des jeunes femmes dansaient en nu intégral, c’était expliqué sur l’affiche. Dedans, plein de touristes allemands, genre retraités en couple. Oui, avec les femmes : ils croient sûrement que ces clubs, c’est de la tradition française digne des circuits touristiques. De la musique en fond sonore, quatre barres de pole-dance avec des filles peu ou pas vêtues qui dansaient sur des estrades d’un mètre de haut.
J’ai commandé une vodka-tomate bien relevée – bloudi machin-chose – à une hôtesse grassouillette vêtue sommairement : bas résille, string et cache-tétons, tout noirs. Quand elle est partie en tortillant du cul, j’ai aperçu une boule noire façon queue de lapin (de lapine ?) qui ornait son popotin.
Je me suis approché d’une estrade moins courue par les Teutons. Sûrement parce que la danseuse était blonde et n’avait pas des nichons XXL. Mignonne, taille fine et belles hanches, pas très ...
... grande mais vachement musclée, les abdos bien dessinés et les épaules larges. Plus culturiste et sportive que danseuse, selon moi. Elle m’a vu et a souri gentiment, alors du coup je me suis avancé au ras de sa piste. Je lui ai fait un bonjour de la main et elle m’a répondu en m’envoyant un baiser. La serveuse étant revenue avec un grand verre plein d’un liquide rouge vif, je la remerciai et payai sans quitter des yeux « ma » danseuse.
Elle ne portait qu’un slip brésilien très échancré en dentelle rouge et un soutien-gorge pigeonnant qu’elle dégrafa, battant des cils à mon adresse ; elle masqua un instant sa poitrine avant de dévoiler de magnifiques tétons dressés, pas refaits, du genre qui tiennent bien dans la main. Ses petites aréoles étaient fardées du même rouge que ses lèvres, mignonnes à croquer (les aréoles comme les lèvres). La fille empoigna le bout de ses nichons et les fit rouler longuement, sans lâcher mon regard. Ils dardaient impudiquement quand elle retira ses doigts, semblant quémander mes caresses. Je déglutis difficilement et bus une gorgée de cocktail, sentant mon bas-ventre s’éveiller.
Ondulant toujours avec grâce, la jolie danseuse me présenta ses fesses pour faire glisser sa petite culotte sur ses cuisses fuselées ; elle l’enjamba en gardant le rythme et se tourna vers moi, exposant crûment son pubis lisse. La jeune femme était entièrement épilée, et son mont de Vénus très bombé était à hauteur de mes yeux hypnotisés. Je bandais comme un malade ; ...