Incertitudes hivernales (16)
Datte: 09/05/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: fantaflo, Source: Xstory
... gagne en amplitude puis accélère un peu le mouvement. Elle l’observe et elle prend vraiment beaucoup de plaisir. Elle atteint ma hampe et me dit alors :
— Prends-moi à quatre pattes.
Maryline se retire, se lève et se met à quatre pattes au sol, devant moi, bien cambrée, l’anus rougi par cette seconde sodomie. Elle me regarde par dessus son épaule :
— Alors, tu viens ?
Je m’agenouille derrière elle, met du lubrifiant sur mon sexe et revient dans son cul. Je pousse immédiatement tout mon sexe en elle. Surpris, elle gémit puis crie un peu. Je vais-et-viens doucement mais avec amplitude. J’accélère petit à petit et Maryline semble gémir de plus en plus.
— Ça va ?
— Ooh oui !
J’ai atteint un très bon rythme quand je me mets sur mes pieds et me prépare à la sodomiser de haut en bas. Une minute plus tard, sous les "Encore !" de la jolie brune, je pilonne les fesses de Maryline aussi vite que mon corps me permet de le faire. Il n’y a que la très expérimentée Cathy que j’ai sodomisée aussi fort. Je vais jouir et je fais une folie : je me retire, prends Maryline par le cheveux et explose sur son visage. Après trois bons jets, mon sexe perd de sa vigueur et je la biffle plusieurs fois. Elle gémit bruyamment puis éclate de rire.
— Dommage que je ne puisse plus te prendre dans ma bouche.
Je ris et lui dis :
— Andrea se faisait un lavement le matin quand elle savait que nous nous voyions à midi. Et elle me suçait après la sodomie.
— Si tu m’avais dit ...
... avant...
Je ris à nouveau.
— Il y a trois heures, tu ne l’avais jamais fait !
Elle éclate de rire.
Nous passons à la douche puis je lui propose de rester manger. Mais Maryline décline la proposition.
— Je reste encore un moment, mais à 18h30, il faut que j’y aille. J’ai pas mal de matière à étudier pour demain et je vais y passer une bonne partie de la soirée.
Maryline remet sa jupe en jeans et il me semble retrouver la petite étudiante qui est arrivée chez moi trente-six heures plus tôt. Elle se justifie ainsi :
— Je me vois mal expliquer à mes parents l’origine des robes. Ma mère travaille dans le domaine de la mode et elle saura au premier coup d’œil que ce sont des robes de valeur, inaccessible pour moi. Alors je vais cacher tout ça dans ma chambre et j’y laverai tranquillement mercredi quand je serai seule.
Nous buvons une tisane et mangeons des biscuits. Je me sens bien avec elle et je n’ai pas envie qu’elle s’en aille, mais je me garde bien de le lui dire. A 18h15, elle va chercher son sac et son manteau dans la chambre.
Dans le hall d’entrée, nous nous enlaçons.
— J’aurais aimé que ce week-end dure toujours. Tu vas tellement me manquer...
Ses yeux se mouillent. Je suis moi aussi à la limite.
— Tu avais promis de ne pas pleurer !
Sourire.
— Oui, c’est vrai. Mais je ne pensais pas que ça serait aussi compliqué le moment venu.
— Je... Moi non plus... Je... Je ne pensais pas que ça se passerait si bien entre nous, Maryline...
Un ...