1. Incertitudes hivernales (16)


    Datte: 09/05/2020, Catégories: Hétéro Auteur: fantaflo, Source: Xstory

    ... stage. Jamais revue non plus.
    
    — Ses conseils n’étaient pas bons ?
    
    — Si, justement. Avec toi, ça s’est très bien passé et j’ai appliqué ce qu’elle m’a appris. Céline anticipait la douleur. Tant que je la préparais, ça allait. Dès que c’était mon sexe, elle se contractait.
    
    — Ensuite ?
    
    — Ensuite, ça a été Andrea, ma collègue de travail. 36 ans, mariée, maman de deux enfants.
    
    — Et ben dis donc !
    
    Je ris.
    
    — C’était à mon ancien job. J’étais là-bas pour un remplacement de six mois et avec Andrea, ça a tout de suite fait tilt. Trois semaines après mon arrivée, on couchait ensemble. Une petite blonde super élégante, pas beaucoup de poitrine, des fesses un peu prononcées, et un peu frustrée sexuellement parlant. Elle ne le faisait plus tellement avec son mari. On rentrait chez elle à midi deux ou trois fois par semaine pour baiser. Ça a duré le temps de mon stage plus quelques semaines. Ensuite, ça a été trop compliqué de continuer à se voir. Elle ne pratiquait pas la sodomie avec son mari, mais l’avait fait avant. On le faisait une fois par semaine environ et je pense qu’il y avait cette part d’interdit qui l’excitait. En tout cas, elle a apprécié de plus en plus.
    
    — Tu te protégeais ?
    
    — Pas avec Muriel. Avec Céline, oui. Avec Andrea, au début oui mais après non. Elle ne couchait plus avec son mari.
    
    — La suivante ?
    
    Je souris. Maryline propose :
    
    — Jess’ ?
    
    — Oui, Jess’. Depuis l’été passé. Mais je préfère ne pas en dire plus.
    
    — Je comprends. Et ...
    ... je comprends aussi que les deux dernières sont Cathy et moi, n’est-ce pas ?
    
    J’acquiesce.
    
    Maryline frissonne. Nous sortons quelques minutes plus tard et nous enroulons dans les peignoirs. Baisers. Maryline me dit :
    
    — Va au salon, j’arrive tout de suite.
    
    Tout de suite, c’est en fait vingt minutes plus tard. Mais l’attente en vaut la peine. Assis sur le canapé, je feuillette un magazine quand Maryline arrive. Elle a mis la dernière robe que je lui ai offerte, la petite robe trapèze noire, qu’elle soulève à son arrivée pour me montrer le porte-jarretelles. Les bas sont un peu de travers, mais pour la première fois, c’est une réussite. Elle fait tourner sa robe qui vole et découvre ses fesses. Maryline s’agenouille entre mes jambes, dénoue et ouvre le peignoir et gobe mon sexe dur. Probablement sa meilleure fellation, rythmée, profonde et variée. Puis elle monte à califourchon sur moi et dévoile sa poitrine qu’elle me donne la lécher.
    
    Mais alors que je ne sais plus où donner de la tête au milieu de ses gros seins, je sens qu’elle prend mon sexe dans une main étrangement "humide" et le dirige... contre son anus. Je ne dis rien et continue de jouer avec ses obus. Mon gland franchit l’entrée et je comprends que "l’humidité" de sa main était en réalité du lubrifiant. Maryline glisse son mon sexe. Elle grimace un peu.
    
    — Je ne me suis pas aussi bien préparée que tu ne l’as fait tout à l’heure.
    
    Elle monte et descend doucement sur ma bite. Elle remet du lubrifiant, ...
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