Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (27) - Histoires de Sexe

Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (27)

... c’est pratique. Les fenêtres sont ouvertes et l’on peut entendre le chant des cigales.

— Que voulez-vous boire ?

— Je ne sais pas. Une bière bien fraîche.

Elle s’en va dodelinant des fesses plus que de raison. Elle se penche devant son frigo, sa blouse dévoile une culotte hors d’âge.

— Vous voulez peut-être la prendre sur la terrasse ? Il y fait bon et elle est ombragée.

Ce n’est pas la bière que je vais prendre, pensais-je.

— Va pour la terrasse.

Je m’assois sur un fauteuil en rotin, elle sur un tabouret. Ma serviette me joue des tours, elle libère mon sexe tendu maintenant. Je ne fais rien pour cacher mon érection. Elle est rouge pivoine.

— Vous me semblez bien seule en ce moment, pas d’amant ?

Elle est écarlate, transpire. Sa blouse en tergal se colle à sa peau.

— Vous êtes une belle femme, pourtant.

— Oh, merci... dit-elle en regardant ses pieds.

Serait-elle de ces femmes qui aiment être dirigées ? Ses mains tremblent, ses genoux s’écartent. Je me lève.

— Levez-vous, Madame Bernard...

Elle se lève lentement, je suis à quelques centimètres. De mon doigt, j’enlève un à un les boutons pression de sa blouse. Comme je l’avais vu, elle est sans soutif. Belle ...

... poitrine lourde, bien bronzée. Ses tétons sont tendus. J’écarte les pans et je trouve une culotte de grand-mère. Elle a toujours les yeux vers le bas. Je lui relève le menton.

— A poil, Madame Bernard, lui dis-je d’une voix douce et charmeuse.

Elle hésite, mais finit par retirer sa blouse et faire descendre son slip. Elle a la toison taillée, pas entièrement, mais ses lèvres sont glabres. Je tourne autour, elle regarde le sol. Elle est bronzée intégralement. Ses fesses tombent un peu, son ventre est rond et plein. Je ne la touche pas, trop tôt.

— Naturiste ?

— Oui...

Je lui dis que désormais, elle devrait m’appeler Monsieur Jean. Elle se reprend et m’appelle Monsieur Jean. Pour la première fois, on a un contact physique. Je lui caresse les fesses. Elle tressaille.

— Il y a longtemps qu’un homme ne t’a pas touchée ?

— Oui, non...

Une petite claque.

— Non, Monsieur Jean.

— Qui était-ce ?

— Le facteur...

Une claque plus soutenue.

— Le facteur, Monsieur Jean.

— Ce bon vieux Georges. Bien, tu vas aller prendre une douche et t’habiller sexy, pas pute, juste sexy. Le maquillage sera léger et je t’attends chez moi dans deux heures. Compris ?

— Oui, Monsieur Jean.