Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (27) - Histoires de Sexe

Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (27)

... et rasé, je me dirige vers la terrasse où je vois l’énorme fessier de ma black d’amour se trémousser devant moi. Ses seins ballottent alors qu’elle s’affaire à je ne sais quoi. Évidemment, devant un tel spectacle, je bande. Je la prends par surprise dans mes bras. Après le sursaut qui l’a fait rire, elle pose sa tête dans le creux de mon épaule. Elle me regarde avec tendresse.

— Monsieur est levé ?

— Oui...

— Je n’ai pas entendu Monsieur.

Je m’installe à table, elle se met en face de moi.

— Je peux te dire quelque chose ?

— Tu peux, Mél, lui dis-je en sirotant mon jus d’orange.

— Tu sais, pour notre mariage, je ne veux pas de tralala. Je veux un mariage civil à la mairie. Pas d’église et tout l’machin.

— Comme tu veux, mais quand ?

— bin, comme tu sais je suis major de promo et à ce titre, j’ai accepté une formation à l’hôpital d’Aix. Notre mariage pourrait se faire au mois de juillet... Tu connais un maire, me semble-t-il.

— Effectivement. Bon, bin, je vais lui en toucher deux mots, je ne pense pas qu’il refuse.

Elle me sourit. Elle est heureuse, je suis heureux.

— Que veux-tu faire aujourd’hui ?

— Tu n’as pas oublié l’invitation faite à Coco et Bob ?

— Non, non. Enfin plutôt oui, j’avais carrément zappé.

— Il faut que l’on aille au supermarché, le frigo crie famine.

Je souffle, moi et les supermarchés, on n’est pas en bon terme, surtout le samedi. Je lui demande l’heure. 10 h 00. La vache, allez, il faut que l’on ...

... s’habille.

Mél a mis une petite robe courte de couleur jaune, ses savates et elle emmène son petit sac à main. Moi, tenue décontracte. Short de style Hawaïen et chemise blanche.

Il est 11 h 00 quand on quitte la maison. Étrangement, la circulation est fluide. On arrive au méga supermarché, temple de la surconsommation. Je laisse filer Mél avec le caddy. Elle est rapide et efficace. Elle rencontre des copines de son école, une amie de sa vie d’avant. Mais elle ne s’attarde pas. Le passage en caisse est tout aussi rapide et je bénis celui qui a inventé les vacances d’été.

On repasse par la maison pour tout ranger, avec cela, je n’ai même pas demandé ce que nous prépare Mél. Surprise !!!

J’emmène Mélissa manger une pizza au resto du coin. Cela ne fait pas trop glamour, mais ma princesse adore ça. On marche bras dessus-dessous. On est accueilli par le patron qui nous dresse une table sous sa pergola végétale. Putain que ça fait du bien de se poser. On commande nos pizzas et une bouteille de rosé bien frais. Mon téléphone sonne, c’est Pierrot.

— Salut frangin, que me vaut l’honneur ?

— Hier, on a fait un carton... Piouf, on a fait un bénéfice de 15 000 euros, tout déduit.

— Eh bien, pas mal, mais il nous reste les employés à payer.

— T’es con ou tu le fais exprès... Le bénéfice c’est pour nous deux.

— Là, je suis sur le cul. Et les fournisseurs ?

— Réglés, et commandes faites.

— Tu es un gérant au top, mon Pierrot.

— C’est pas moi, Gégé et Li s’en sont ...