Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (27)
Datte: 06/05/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... chargées.
— Remercie-les pour moi.
— OK, cela sera fait. Je te laisse, j’ai des chattes à fouetter... Hahahahaha.
Bon, le club a l’air de fonctionner, mais pour combien de temps ? Mél me regarde interrogatrice, mais je la laisse dans le vague. On rentre à la maison, Mél se désape et se jette à la piscine. Je m’installe sur un transat. Elle nage pendant un petit moment puis vient s’installer à califourchon sur mes cuisses. Sans qu’aucun mot ne soit échangé, elle me caresse tendrement la bite et me dit :
— Interdiction de venir dans la cuisine, j’aurai à faire et je n’aime pas que l’on me dérange pendant que je cuisine.
Elle se penche, pose ses énormes mamelles sur mon torse et m’embrasse. Elle part à la cuisine, je la regarde. Ses grosses fesses sont un régal pour les yeux. Elle ferme la porte-fenêtre et tire le rideau en me passant la langue. Il est 15 h 00. Coco et Bob n’arrivent qu’à 20 h 00. J’en profite pour faire un peu de rangement dans ma chambre, de faire le tri dans les affaires de Mélissa. Désormais, on dort ensemble. Les armoires sont devenues trop petites pour un couple, surtout quand la femme s’appelle Mél. J’entends le ramdam que fait ma chérie dans la cuisine, mais une promesse est une promesse. Je vais même fermer la porte du couloir. Je vais dans la chambre des plaisirs et je mets ma machine en configuration biplace. Je vire les flacons de gel intime, d’huile de massage et vire tous les flacons vides dans un sac-poubelle. Je me passe une ...
... serviette autour de la taille et vais le jeter dans un conteneur près de chez moi. Il n’y a personne à cette heure-ci.
J’ai peut-être parlé trop vite. Une voisine est en train de tailler ses petits arbustes. Je lui fais signe de la main, je n’ai pour réponse qu’une mimique que je connais bien, elle se pince les lèvres. Je regarde ma serviette. Trop petite pour faire le tour de mes hanches, Popol est sorti de sa cachette. J’y vais ou je n’y vais pas ? Pas la peine de me déranger, elle s’avance vers moi. Je réajuste ma serviette.
— Bonjour, Madame Bernard, il fait chaud.
Madame Bernard est veuve depuis cinq ans, je crois. Nous nous croisons de temps à autre, elle est guichetière à la poste au bout de la résidence. Elle est petite, brune, des yeux marron, un nez en trompette et une bouche... A pipe, bien large avec des lèvres pulpeuses, finissant la cinquantaine
— Oui, ne m’en parlez pas. C’est étouffant, dit-elle en s’essuyant le front avec son avant-bras. Sous ce geste, sa blouse de tergal s’ouvre un peu et me dévoile un sein libre de tout vêtement. C’est des plus prometteur. Un sein sans marque de soutien-gorge ou de maillot. Ferait-elle du topless ? Elle remarque mon intérêt pour sa poitrine, elle rougit.
— Vous, vous voulez boire un rafraîchissement ?
Ça y est, elle est ferrée. J’accepte volontiers et la suis dans son entrée et son salon. Tout y est sombre. Les Provençaux laissent leurs persiennes fermées pour se protéger des affres du soleil et je vous jure que ...