1. COLLECTION LESBIENNES. Femme pour femme (3/8)


    Datte: 05/05/2020, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... le pense aussi.
    
    - Dis-moi, c’est un coup de chance que j’ai été face à toi dans notre café du dimanche.
    
    - Je vieillis moi aussi et il faut que je pense à ma descendance, tu vois ce gode, le premier que je t’ai mis dans ta chatte, ta maman en raffolait et pourtant, je ne l’ai jamais eu en moi.
    
    Caresse-moi petite fille que j’aime comme j’ai aimé ta jolie maman.
    
    Je commence par reprendre sa bouche, savoir que ma mère avait embrassé aussi passionnément que moi ces lèvres et caressée cette langue ne me gênaient pas.
    
    Mes doigts sont venus sur ses seins pendant que les siens restaient sages, on dirait qu’elle revit les moments de sa jeunesse avec cette femme qui a dû être l’amour de sa vie.
    
    Je la caresse entre ses cuisses après avoir contourné le gros gode qu’elle a toujours autour de ses reins, elle est trempée, elle mouille son lit comme elle a mouillé ma bouche hier.
    
    Je décide de prendre une initiative, je la quitte quelques instants, je détache l’olisbos qui vient de me déflorer et je fixe le jouet favori de maman autour de ma taille.
    
    Je me couche sur elle qui s’est allongée lascivement et je la pénètre d’une seule poussée.
    
    De suite, elle m’enserre de ses jambes comme de nombreuses femmes le font avec leurs amants ou maris dans les films qui sont ma seule référence.
    
    Son vagin doit se contracter autour de cette verge artificielle car je sens sa jouissance parvenir jusqu’à mes lombaires.
    
    Elle crie et je crie aussi.
    
    - Ma chérie, si on m’avait ...
    ... dit que c’est toi qui un jour me dépucellerais j’aurais dit que cette personne est folle.
    
    - Dis-moi, tu sembles avoir repris pied sur terre et si hier je ne m’étais pas assise face à toi ?
    
    - Dans la vie, tu apprendras que l’on fait des gestes toujours les mêmes dans notre vie.
    
    Plusieurs fois tu ne m’as pas vu, car la table où tout a commencé entre ta maman et moi n’était pas libre.
    
    Mais tu t’assieds toujours à ce bout de table.
    
    Hier toutes les conditions étaient réunies et nous nous sommes plus que réunies.
    
    J’avais essayé de te rencontrer près du camping, ce n’est pas anodin que je promène Joujou là-bas.
    
    J’étais à deux doigts de t’aborder, j’aurais trouvé un motif tu sais ce que femme veut, elle l’obtient, je l’ai obtenue, j’aurais trouvé un autre moyen de t’aborder.
    
    J’ai ressorti le gode de sa chatte, pas la moindre trace de sang.
    
    - Je vois que tu regardes le gode, tu dois savoir que des filles ont des hymens récalcitrants comme le tien et d’autres qui en sont dépourvus.
    
    Je sais que je faisais partie de cette deuxième catégorie, essaye d’entrer ta main en moi comme je l’ai fait avec le gros gode puis ta main, je suis trop étroite.
    
    Je fais ce qu’elle me dit, j’entre deux doigts, j’essaye d’en placer un troisième, impossible, ça ne rentre pas.
    
    - Tu vois je ne te mens pas, tes doigts ont des légères traces de sang, pourtant il y a longtemps que je suis ménopausée.
    
    Dis-moi, je sais que tu as loupé ton bac, je t’ai dit que je te suivais comme ...