COLLECTION LESBIENNES. Femme pour femme (3/8)
Datte: 05/05/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Je viens de perdre mon pucelage grâce à la Comtesse de la Tour.
C’est le lendemain de son exhibition devant moi dans un café près du casino de Salins-les-Bains dans le Jura qu’elle s'est servie d’un gode pour me le prendre, moyennant la somme de 1 000 €.
Elle a commencé par un gode-ceinture classique de faible diamètre.
Contrairement à la plupart des filles, ma membrane est résistante.
Il faut que j’accepte un gode de fort diamètre servant au Comte pour se faire défoncer l’anus, pour qu’elle cède.
Marguerite veut constater qu’elle a bien cédé et me rentre carrément sa main dans ma chatte.
Fister, elle me fiste.
Dans quelques films j’ai vu des femmes le faire, je n’aurais jamais imaginé qu’on ne le fasse à moi-même.
Encore plus étonnant, c’est que ce soit cette femme bien plus âgée que moi qui ait compris simplement dans mon maintien que je faisais partie des gousses, des suceuses de chattes.
Sa main ressort, je pense que c’est le moment de lui poser des questions sur certains propos qu’elle a tenus lors de nos ébats.
- Dis, tu as dit que ce gode servait pour ton travail, de plus tu as dit que le Comte se faisait enculer, alors qu’il ne t’avait jamais touché.
- Je vais te dire certaines parties de ma vie.
J’habitais à Paris dans ma jeunesse et un jour, une femme comme je l’ai fait pour toi m’a fait comprendre mon orientation sexuelle.
Dans ces années-là, les femmes ayant une vie sexuelle différente de la normale étaient montrées du ...
... doigt.
Mes parents m’ont renié et mise à la rue.
J’ai cherché des lieux où je pouvais me réfugier.
C’est dans un bar des beaux quartiers de Paris que j’ai fait ma première passe, attention avec une femme, pas un homme.
Rapidement je suis devenue une pute pour femme très demandée.
Je me suis constitué un carnet d’adresses étonnant.
Toutes les femmes très dignes de ces quartiers, qui se mariaient pour cacher leur penchant à leurs parents puis à leurs maris, m’appelaient dès qu’ils avaient le dos tourné.
J’ai baisé dans les plus beaux palaces, dans les immeubles les plus chics de la capitale.
J’espère que je ne te choque pas.
- Comment pourrais-je être choquée, j’ai accepté ton argent hier et je vois les 1 000 € proposés sur ta table de nuit.
Je suis moi-même une pute féminine, une pute femme pour les femmes.
- C’était un test, je voulais voir si recevoir de l’argent pour coucher t’était insupportable, je t’ai vu aller à la messe avec ton père.
- Connais-tu mon père ?
- Oui et non, je connaissais ta mère.
- C’était une lesbienne ?
- Oui, mais avec elle c’était gratuit.
Je l’ai connue ici dans les premiers jours où vous êtes venus, ton père étant pêcheur.
- Je me souviens, j’étais petite, maman me laissait chez une vieille dame qui habitait un peu plus haute en remontant la rue principale.
- C’était ma propre mère, je suis toujours propriétaire de son logement que je loue à des jeunes filles en perdition.
- Mais le Comte ?
- ...