COLLECTION LESBIENNES. Femme pour femme (3/8)
Datte: 05/05/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... Je tapinais à Paris, mais je venais tous les étés ici voir maman qui ignorait avec quel argent je pouvais lui payer tout ce que je lui offrais.
Elle était femme de ménage dans cet immeuble.
Un jour je suis venue la chercher et c’est ce jour-là que j’ai connu le Comte.
Il voulait avoir une personne qui s’occupe de sa fortune.
Le contrat a été passé, nous faisions chambre à part, seule la bite qui vient de te déflorer devait être un contact entre nous.
C’était facile, j’habitais toujours à Paris et je venais ici quand bon me semblait, j’étais déjà assez riche pour choisir ma vie.
Tous les dimanches nous venions au café dans l’après-midi.
Un jour ta maman était là à la place où tu étais assise, j’étais à la même place que j’occupais avec Joujou sur mes genoux.
Le Comte encore vivant à cette époque était là, face à moi, mais j’ai très bien vu Mathilde, ta maman, écarter ses cuisses, elle n’avait pas de culotte.
Je voyais nettement sa fente et surtout discrètement sa main qui est venue la rejoindre jouant avec son clitoris.
Ton père quant à lui, continuait de parler de la truite improbable car très grosse qu’il avait loupé la veille.
Comme elle me l’a dit, elle m’avait reconnu comme j’ai réussi à ce que tu reconnaisses ton penchant pour les femmes.
Elle vous a parlé et me regardant fixement puis elle est sortie.
Je l’ai suivi, elle faisait celle qui souhaitait traverser sans le faire.
Des voitures respectueuses du Code de la route ...
... s’arrêtaient et pestaient car elle ne s’engageait pas.
Nous avons traversé nous prenant la main comme de vieilles amies et nous nous sommes engouffrés chez moi pour directement aller dans ma chambre.
La seule chose que j’accepte de te dire outre la beauté et la grâce de ta maman, seule la manière dont tu embrasses, me la rappelle.
Tu as hérité ça d’elle, beaucoup de filles ne savent pas donner leur bouche et leur langue comme vous le faite.
Pourtant des langues dans ma bouche lors de mes rencontres avec mes clientes, j’en ai connu beaucoup.
Le Comte m’a quitté, j’ai hérité et nous avons continué de nous serrer dans les bras l’une de l’autre ici pendant vos vacances et à Paris dans le logement où j’habitais.
Un jour, retour du destin, c’est sur ce passage clouté face au café que Mathilde ta maman c’est plein de mots de ventre.
Nous avons cru à des règles douloureuses, mais hélas une fois hospitalisé c’était bien plus grave, la maladie l’a emporté.
J’étais à son enterrement et son incinération, vous ne m’avez pas vu tout à votre chagrin, mais j’ai été là à tous les instants de ta vie.
- C’était toi qui nous faisais porter une enveloppe à mon nom à chacun de mes anniversaires ?
- Oui, bien sûr, un jour où nous avions été parfaitement heureuse et comme elle refusait de quitter ton père pour ne pas te déstabiliser elle m’a fait promettre de m’occuper de toi.
- Elle devait savoir avant qu’elle soit hospitalisée à Salins, que la maladie la rongeait.
- Je ...