1. Sur la banquette arrière.


    Datte: 04/05/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... Quand je le sortis ce fut pour le porter à mes narines. Il sentait la merde. Je n’ai pas hésité de le sucer.
    
    - Baaahhhhh ! T’ai dégueu…
    
    Cela me fit sourire. Je me saisis de ma verge et la guidais à l’entrée de son vagin. Savourant la délicieuse sensation procurée par la chair molle et gluante frottant la tête de ma verge. Quand le gland disparut disparu dans ses entrailles, elle a gémit. Elle était douce moite et onctueuse. Elle avait la chatte aussi accueillante que sa bouche. Et par-dessus tout, elle savait s’en servir ! Elle adorait la chose, selon toute évidence, et elle y mettait une ardeur qu’on ne rencontre que trop rarement.
    
    J’eus l’impression que le vagin m’asticotait. Se moulant parfaitement au volume de mon sexe. Elle poussa un gros soupir, comme si ma queue expulsait l’air de son corps. Je me mis à la baiser activement. Mes couilles cognaient ses fesses. Je me penchais pour saisir les seins qui ballottaient sous elle. Tout le corps exhalait une odeur de sexe échauffé. Entre mes doigts, les seins moites glissaient de transpiration et de salive.
    
    Je sentais alors qu’on m’écarter les fesses. Je tournai la tête pour y apercevoir la mère. Elle portait une chemise de nuit descendant jusqu’aux chevilles. Toute blanche et dont la transparence ne laissait aucune partie de son corps à l’abri des regards. Ses seins lourds et hauts perchés, tendaient la fin tissue et la tache sombre de son pubis ajoutait une légère obscénité à sa tenue. Son sourire s’était ...
    ... changé en carnassier, accompagnait d’un regard aux brillances mauvaises. Décidément pensai-je, c’est de famille !
    
    Je la vis se pencher en avant, et très vite je sentis sa langue légèrement râpeuse me lécher le troufion. Elle n’était à sa première expérience. Sa langue virevoltait autour de ma rondelle et s’y enfonçait comme pour un baiser profond.
    
    Il m’en fallut pas plus pour me vider dans l’antre de sa fille. J’étais tellement excité que j’avais l’impression d’éjaculer sans fin. Quand je me retirai, le vagin de Pénélope resta ouvert. Comme un entonnoir de chair à vif. Elle se laissa tomber sur le ventre, secouée de spasmes violents. Je m’affalais près d’elle, le souffle court. L’effort et l’excitation m’avaient épuisé.
    
    Mais ça la mère, elle s’en foutait. Elle voulait, elle-aussi sa part de jouissance. Elle vint pour cela s’accroupir au-dessus de mon visage. Elle s’ouvrit d’elle-même. M’exhibant une chair rose et un clitoris de bonne taille, rouge sang que je m’empressai de sucer. Elle appréciait beaucoup comme le montrait ses gémissements.
    
    Après avoir joui assez rapidement, tant son excitation était à son comble, elle resta immobile quelques instants comme pour récupérer. Le regard fiévreux, les pommettes comme marqués au fer rouge.
    
    Puis le regard rivait au mien, elle vint s’accroupir au-dessus de ma verge, face à moi. Sans un mot, elle s’empala littéralement dessus. Et se mit à me baiser très savamment, jusqu’à être rattraper par l’orgasme.
    
    Anéantie, le cœur ...
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