1. Sur la banquette arrière.


    Datte: 04/05/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... :
    
    - J’adore le goût de ton sperme ! Il a une saveur un peu sucrée.
    
    Grâce à la lueur du tableau de bord, je surpris son regard. Il était comme fou. J’étais halluciné par tant d’audace de sa part. Mon cœur battait à tout rompre alors que je me rajustais. Elle reprit sa place initiale et n’y bougea jusqu’à notre arrivée. Réfléchissant sans doute sur la suite à donner à notre petite aventure.
    
    D’ailleurs la coquine ne manquait pas d’imagination. Allant jusqu’à imposer à ses parents de m’héberger pour la nuit.
    
    - C’est une bonne idée Pénélope. Rétorqua la mère. C’est la solution la plus sage.
    
    - C’est que…
    
    - Que quoi ? Vous prendrez le train demain matin après une bonne nuit de repos. Je vous en prie, acceptez cette invitation. Il est tard. C’est la solution la plus sage. Je vous promet de vous conduire moi-même à votre gare demain matin.
    
    - Si vous assistez, pourquoi pas.
    
    Le mari toujours aussi silencieux, contre mauvaise fortune bon cœur prit la route qui allait nous mener jusqu’à leur appartement. Une fois dans le lieu, l’hôtesse m’indiqua la chambre qui m’était alloué, celle de Jean Pierre.
    
    - Je suis sûr que lorsqu’il apprendra ça, cela lui fera chaud au cœur. Fit la mère.
    
    - Merci madame.
    
    - La salle de bains se trouve à la deuxième porte à droite dans le couloir. Si vous désirez prendre une douche.
    
    Allongé dans le noir, il m’était alors impossible de trouver le sommeil. Je sentais qu’il allait encore se passer quelque chose. Et ce qui devait ...
    ... arriver arriva. Une demi-heure plus tard la porte s’ouvrit. Grinçant sur ses gonds. Malgré la pénombre je vis une silhouette s’engouffrait à l’intérieur de la pièce. J’allumais la lampe à chevet pour me retrouver face à Pénélope. Une lueur farouche dansait dans son regard.
    
    - Qu’est-ce que tu veux ? Lui fis-je.
    
    - Que tu me rendes la monnaie de ce que je t’ai donné dans la voiture. Répliqua-t-elle
    
    D’un mouvement gracieux, elle croisa les bras, attrapa l’ourlet de sa robe puis le releva au-dessus de sa tête. Elle ne portait pas de collant, mais un porte-jarretelles et des bas gris bleuté. Pas de culotte non plus, ni de soutien-gorge. Sa peau étincelait d’une clarté laiteuse. Sa vulve était intégralement rasée.
    
    Dès lors, tout devint lumineux dans mon esprit. Si elle avait si bien assisté auprès de sa mère, quelques heures plus tôt pour m‘accueillir pour la nuit, ce n’était pas si simplement par gentillesse mais parce qu’elle avait besoin d‘être baiser. Elle avait le feu au cul cette fille. Notre rencontre avait été providentielle pour son appétit sexuel. Sa faim était aussi énorme que son jeune âge était jeune.
    
    - Et pourquoi le ferais-je ? Je ne t’ai rien demandé.
    
    - Peut-être ! Mais tu n’as rien fait pour m’arrêter. Répliqua-t-elle.
    
    Alors que je la dévorais du regard, elle en profita pour retrousser le drap du dessus, et prendre place à mes côtés.
    
    - Vue comme ça. Tu n’as pas peur quand nous surprenne ?
    
    - Les vieux dorment.
    
    - Ils dorment mais peuvent ...
«1234...»