1. Grâce aux voyages scolaires


    Datte: 04/05/2020, Catégories: f, fhh, couple, jardin, double, fsodo, hsodo, jouet, attache, yeuxbandés, Auteur: Rêveur, Source: Revebebe

    ... bras l’un de l’autre mais malgré tout il fallait aller travailler. Marie fut la première à se lever, en sortant de la salle de bain, elle vint embrasser son mari avant de partir.
    
    — Tu ne prends pas ton petit déjeuner avec moi ?
    — Non, je suis déjà en retard et le médecin va m’attendre, je prendrai un café au cabinet, et tu devrais te dépêcher un peu, tes clients vont t’attendre.
    — Oui, tu as raison, je me lève tout de suite.
    
    Pierre, encore nu, suivit Marie jusque la porte. Ils s’échangèrent un dernier baiser et comme pour le narguer un peu plus Marie glissa la main le long du torse de son mari et empoigna le sexe qui était déjà en train de durcir. Elle se baissa et embrassa la verge :
    
    — À ce soir toi, ne fais pas de bêtises sinon ce soir tu n’auras rien.
    
    Pierre sourit à sa femme et referma la porte derrière elle avant d’aller se préparer.
    
    —ooOoo—
    
    D’un côté comme de l’autre, la journée fut longue.
    
    Marie rentra la première et prépara un petit dîner léger.« C’est bien beau de vivre d’amour et d’eau fraîche, mais j’ai faim. » pensa-t-elle.
    
    Pierre arriva comme d’habitude vers 20 h 30. Marie avait dressé la table et l’attendait pour manger. Il lui fit son bisou sur le front et s’installa en face d’elle. Le repas fut silencieux, les yeux dans les yeux les amoureux savouraient ce moment comme un moment magique, rien qu’à eux. Marie se leva la première et avec une voix douce dit à Pierre :
    
    — Laisse-moi quinze minutes et viens me rejoindre.
    
    Pierre la ...
    ... regarda s’éloigner. Il entendit l’eau de la douche couler le temps qu’il débarrassait la table. Puis le silence, un bruit lointain de linge que l’on froisse.« Marie a laissé la porte de la salle de bain ouverte, elle voulait peut-être que je monte en même temps qu’elle ? J’ai peut-être loupé le coche sur ce coup-là ? » pensa-t-il.
    
    Pierre monta les marches quatre à quatre, fila dans la salle de bain mais Marie n’y était plus, il prit une douche rapide et sans prendre la peine de s’essuyer, il se dirigea vers la chambre, nu comme un ver.
    
    Marie était allongée sur le lit, complètement nue elle aussi, et avait une paire de menottes dans la main.
    
    — Ce soir je suis ton objet. Attache-moi et fais de moi ce qu’il te plaît.
    — Vos désirs sont des ordres Madame, répondit Pierre en souriant.
    
    Pierre lui accrocha les mains au lit à baldaquin en faisant attention de ne pas lui faire mal.
    
    Marie ferma les yeux, comme pour s’abandonner entièrement à son tortionnaire.
    
    Pierre commença par lui lécher le lobe de l’oreille, Marie frissonna. Puis il descendit sur sa poitrine. Marie ouvrit les yeux et cria :
    
    — Attention…
    
    Pierre eut l’impression qu’un camion de trente tonnes s’abattait sur le haut de son crâne, il essaya de se retourner mais chavira dans le noir sans pouvoir lutter.
    
    —ooOoo—
    
    Quand Pierre reprit connaissance, il ne put rien voir, un bandeau était posé sur ses yeux, il était sur le ventre, les mains et les pieds accrochés à chaque coin aux barreaux du lit. ...
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