Grâce aux voyages scolaires - Histoires de Sexe

Grâce aux voyages scolaires

... Marie n’était plus à côté de lui. Il voulut crier mais un bâillon l’en empêchait.

— Ne bouge pas mon chéri, je suis là, n’aie pas peur, il m’a promis qu’il ne nous ferait aucun mal si on faisait ce qu’il demande, alors sois fort et accepte.

Pierre sentit une main lui détacher le bandeau. Il se rendit compte qu’il était positionné sur le lit à l’envers, la tête au pied de façon à voir la vidéo des ébats amoureux des deux derniers jours passés sur l’écran de télé. Une cagoule comme celle des Corses, apparut devant sa tête.

— J’enlève ton bâillon si tu me promets de ne pas crier.

Pierre fit signe de la tête et le bâillon fut enlevé de sa bouche.

— Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ? Comment êtes-vous entré ? Où est Marie ?
— Je suis celui qui contemple vos ébats amoureux depuis trois jours, cher Monsieur. J’aime bien quand le temps est chaud comme en ce moment, les gens ont tendance à laisser leurs fenêtres ouvertes et je peux en profiter pour faire de belles vidéos. Par contre vous m’avez quand même surpris hier soir… dans le jardin… je n’en demandais pas tant pour que ma vidéo soit très réussie. J’en ai fait des arrêts sur image que j’ai mis sur papier si vous voulez voir, dit-il en montrant des photos de leurs ébats. Et ce soir, vous êtes tellement pressés de vous retrouver ensemble que vous n’avez même pas pris la peine de fermer la porte à clé quand vous êtes rentré tout à l’heure. Ce fut un jeu d’enfant d’accéder à l’étage sans que vous ne m’entendiez ...

... puisque vous étiez tellement préoccupés par vos ébats. Un jeu d’enfant, je vous dis.
— Où est Marie ?
— Ne bouge pas mon chéri, je suis là, n’aie pas peur, il m’a promis qu’il ne nous ferait aucun mal si nous faisions ce qu’il demande.

Pierre avait compris que Marie se trouvait derrière lui.

— Que voulez-vous ? Qu’attendez-vous de nous ?
— Si vous ne faites pas correctement ce que je vais vous demander, je partage les vidéos avec tous les gens du village. Vous savez comment sont les gens dans un village, ils n’apprécieront certainement pas que vous forniquiez comme des sauvages. Par contre, si vous m’obéissez, je vous donne les vidéos et vous n’entendrez plus jamais parler de moi.
— C’est-à-dire ?
— Laissez-vous faire et tout ira pour le mieux.

Le cagoulé remis le bandeau sur les yeux de Pierre. Il sentit une main se poser sur son dos, puis cette main commença à descendre. Du liquide froid coula le long de ses fesses, il avait reconnu le liquide, c’était le gel spermicide que Marie avait utilisé avec le godemiché deux jours plus tôt. La main écarta les jambes un peu plus, puis Pierre sentit quelque chose entrer en lui, mais ce n’était pas le jouet en plastique, c’était un vrai sexe, un sexe d’homme. Il se retint de crier pour ne pas que l’inconnu fasse de mal à Marie. L’homme à la cagoule était en train de faire son affaire avec son anus. Une larme glissa le long de sa joue. Tandis que l’homme s’en donnait à cœur joie dans le dos de Pierre, il sentit les mains douces ...