1. L'indécente pudeur de Lady Ann


    Datte: 03/05/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, Oral pénétratio, init, Humour prudes, Auteur: OlivierK, Source: Revebebe

    ... les yeux, Ann chérie !
    — Oh, je n’ai jamais fait cela. J’ai tellement honte (what a shame) ! Je dois si mal m’y prendre !
    — Non, vous faites cela divinement, Ann. Positivement divinement !
    
    Ses bas ne me gênaient guère. Je remis à plus tard le soin de les lui enlever. Sa culotte était fendue. Ann gémit qu’il n’était peut-être pas indispensable de l’ôter. Voulait-elle gagner du temps, ou était-ce encore un effet de son incoercible pudeur ? Toujours est-il que la culotte rejoignit les autres hardes qui jonchaient le sol. J’y ajoutai mes propres vêtements, en toute hâte.
    
    — Oh non, oh non, jamais le colonel… soupira Lady Ann quand ma bouche s’approcha de son puits d’amour.
    
    J’écartai quelques poils follets, d’une blondeur hélas moins diaphane que ses cheveux, et moins soyeux aussi. Passant outre, je débusquai ce qui devait l’être et tétai, léchai, tétai, léchai encore. Ann invoquait un dieu que je suppose être resté parfaitement indifférent à tout cela.
    
    Quand je remontai pour me mettre en position de pénétrer l’huis, désormais entrouvert et suintant à souhait, Lady Ann balbutia qu’il ne fallait pas, oh non, qu’il ne fallait pas. Je ne tins pas compte de cette objurgation. Dans ce fourreau étroit et chaud je fis quelques va-et-vient en les rythmant ainsi : je plante genêt, je plante genêt…
    
    Le lamento de la pudique Lady Ann commença faiblement puis prit de l’ampleur, pour finir en vocalises qui couvrirent le tintement du piano. Nous venions tout juste d’achever ...
    ... notre plaisant exercice quand une voix fluette nous parvint :
    
    — Maman, que se passe-t-il ? Seriez-vous souffrante ?
    — Non, n’entre pas, retourne à ton piano !
    
    Saurai-je un jour si l’innocente Élisabeth avait entrouvert la porte avant de poser ses questions ? Car…
    
    — Ah, c’était donc ça ! constata Lady Ann. Et moi qui me pensais frigide ! Jeune homme, vous m’avez déshonorée, il vous faut réparer et m’épouser dans les meilleurs délais.
    — Mais votre fille…
    — Vous ne verrez plus ma fille, afin de ne point offusquer sa virginale pudeur ! Elle ira dans un couvent. Je vous veux pour moi seule, grand chenapan ! Nous demeurerons dans votre domaine du Sussex.
    
    Prenant en main mon sceptre humide mais déjà quelque peu rabougri (on n’échappe pas aux lois de la nature !), elle le prétendit en effet à elle, et à elle seule. Je fis valoir que mes études étaient loin d’avoir été conduites à leur terme, que je ne serais révérend que de longues années plus tard, et peut-être même jamaisbishop. Elle me dit que cela n’avait pas d’importance, qu’une fois sa fille devenue nonne, Dieu y trouverait bien son compte, et qu’il fallait un père à l’enfant que nous venions de concevoir.
    
    Avais-je donc effectivement planté genêt, moi qui étais persuadé, dans mon insouciante jeunesse, qu’une Lady de cet âge ne pouvait plus être mère ? La Lady de cet âge, en tout cas, ronronnait de bien-être.
    
    — Que faut-il faire,dear boy, pour que cela redevienne gros, long et bien solide ?
    — Lady Ann, si vous ...