1. L'indécente pudeur de Lady Ann


    Datte: 03/05/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, Oral pénétratio, init, Humour prudes, Auteur: OlivierK, Source: Revebebe

    ... pourtant pas dit : se penchent. Je lui affirmai alors préférer Roméo et Juliette, chez cetold fellow de William.
    
    — Comme nos familles ne sont point ennemies, je rendrai votre fille heureuse, affirmai-je. Pleinement heureuse. Nous vous ferons dans l’allégresse de nombreux petits enfants.
    — Oh, dans l’allégresse…
    — Vous-même, Lady Ann, quand avec le colonel…
    — Je fermais les yeux et je pensais à l’Angleterre, comme avaient fait ma mère et la mère de ma mère. Le colonel ne m’a jamais vue nue !
    
    Nous étions seuls, le piano continuait inlassablement son besogneux exercice. J’attaquai.
    
    — Pourtant, Lady Ann, il est fort agréable d’aimer et d’être aimé. De prouver son amour en caressant, en embrassant, en déshabillant, en câlinant, en pénétrant…
    — Ah, taisez-vous ! Vous êtes odieux ! Pire qu’une bête !
    — Nue vous devez être incroyablement séduisante, Ann. Prenez-vous des bains ?
    — Des bains ? Sans aucun doute (of course). Mais toute seule !
    — Pas de femme de chambre, pas d’accorte soubrette ?
    — Mais taisez-vous donc ! Vous êtes un démon !
    — Quand vous êtes sur la côte et que vous vous baignez au milieu des vagues… et des autres baigneurs…
    — Je ne vais que sur une plage réservée aux dames. Et je conserve « mon » chemise.
    — Qui se colle à vos délicieuses formes une fois mouillée. Ah, rien qu’en y pensant, Ann très chérie, je suis dans un état… Touchez plutôt.
    
    Je m’approchai. Les yeux chavirés, elle avança ses petites mains pour repousser ce qui devait lui faire ...
    ... horreur, croyait-elle. Elle toucha, puis palpa et ferma les yeux en respirant bien fort, la tête renversée sur le dossier du fauteuil. Je hasardai que nous serions mieux dans sa chambre. En m’y conduisant, elle titubait.
    
    Il y eut des ligatures à défaire, des lacets à dénouer, des boutons à faire sauter. Ses seins n’avaient jamais été tétés. La délicieuse Élisabeth (tiens, j’étais quand même un peu en train de l’oublier, celle-là !), la délicieuse Élisabeth, donc, avait été confiée aux bons soins d’une nourrice et jamais le colonel n’avait eu accès à ces collines qui ressemblaient à des biches folâtrant dans les montagnes du Liban, comme il est dit dans le Cantique des Cantiques. J’avais commencé mon instruction biblique par ce texte, sans juger bon d’aller au-delà, trop occupé que j’étais, chaque fois, à calmer mon ardeur avec les juvéniles pensionnaires d’une certaine maison… mais peu importe.
    
    Ma bouche délaissa les pointes très fermes des seins de Lady Ann pour picorer ses pulpeuses lèvres. Ma langue, qui voulait s’introduire, se heurta aux jolies dents, qui s’écartèrent bien vite. Elle rencontra la langue de Lady Ann. Ces deux muscles se plurent à longuement se tâter. La salive de Lady Ann avait un goût de chèvrefeuille. Sans doute en avait-elle bu une tisane en m’attendant.
    
    Il me fallut procéder à l’attaque du corset. Les mains de Lady Ann, pendant ce temps, ne restèrent pas inactives. Ma braguette se trouva bien vite ouverte et mon membre fut empoigné.
    
    — Ouvrez ...