1. Un homme heureux


    Datte: 03/05/2020, Catégories: 69, pénétratio, fsodo, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... d’Aline et moi. Mais rien ne nous lie, elle est libre d’en préférer un autre. Nous nous retrouverons peut-être un autre jour.
    — Eh bien, tu prends bien la chose. Aline croyait que vous finiriez la nuit ensemble.
    — Il ne me reste plus qu’à trouver une autre fille.
    — Je crois que tu ne connais pas grand monde, ce sera peut-être difficile.
    — Si, il y a toi ! Enfin, nous nous connaissons un peu et sincèrement je te trouve très belle. Si tu le voulais, tu ferais une bonne remplaçante.
    — Tu es gonflé. Me dire ça de but en blanc, je ne suis peut-être pas d’accord, ou bien j’ai peut-être un mec qui m’attend.
    — Ton cavalier ?
    — Oh non, c’est un cousin plus jeune que moi, il s’occupe des minettes de son âge.
    — Alors, rien ne t’empêche de le remplacer, si tu veux bien.
    — Oh, après tout, pourquoi pas.
    
    Et nous restons en couple. Le champagne coule et ma compagne à l’air de bien l’aimer. Elle est heureuse, et très prolixe.
    
    — Je crois que je suis un peu pompette, il va me falloir rentrer, me dit-elle.
    — Tu veux que je te raccompagne ?
    — Oui, tu prends la route vers la gauche, je t’indiquerai la suite.
    
    Je pars dans la direction indiquée, attendant des indications. Mais ma compagne est écroulée, contre mon épaule.
    
    — Où habites-tu lui demandai-je.
    — Oh, c’est trop compliqué, allons chez toi.
    
    Laurent lui obéit. Arrivé devant chez lui, il est obligé de la soutenir pour monter l’escalier. Toutefois, l’air frais l’a un peu réveillée. Dès l’entrée, elle lui demande un ...
    ... verre d’eau. Ce corps de femme-enfant le tente, il a une envie terrible d’elle. Glissant son bras autour de sa taille, il l’amène contre lui. Elle lève la tête, les lèvres sont proches, ils s’embrassent. D’entrée, il s’aperçoit que c’est une novice qui n’a probablement jamais connu d’amoureux.
    
    Il la guide vers sa chambre. Elle se laisse guider, mais il la sent crispée. Délicatement, il commence à la déshabiller. Pas de réaction, pour défaire la robe, ni aide, ni refus, c’est un corps maintenant bien éveillé, mais inerte. Toutefois, arrivé aux sous vêtements, une crispation, puis, d’un coup c’est l’abandon. Nue, il l’allonge, se déshabille à son tour, se couche auprès d’elle. Ce fruit vert le tente, il l’embrasse à nouveau. La bouche reste passive.
    
    Il descend vers les seins, mignons et fermes. Les lèvres viennent les butiner. Toujours cette crispation.
    
    — Tu as peur de moi, lui demande-t-il.
    — Un peu, c’est la première fois.
    — Je comprends. Ne crains rien, si tu veux, je m’arrête.
    — Non, il faut bien que je commence. Autant que ce soit toi. Mais vas-y doucement, je t’en prie.
    — Sois tranquille bébé, je serais tout doux.
    
    Reprenant au début il revient sur la bouche. Par touches légères il l’invite à s’ouvrir. La langue vient taquiner celle de sa partenaire. Quelques tâtonnements et elle entre dans la danse.
    
    La main de Laurent caresse doucement un sein. Du bout des doigts il fait rouler le bourgeon. La respiration s’accélère un peu, un petit gémissement sort de sa ...
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