Un homme heureux
Datte: 03/05/2020,
Catégories:
69,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... suis pas encore, j’enterre ma vie de fille.
Et pendant deux heures nous avons tout répété. Toutes les phases ont été étudiées. J’ai apprécié sa gorge, elle a tout avalé. Puis son con, je m’y suis vidé. Mais quand je l’ai vu se mettre à quatre pattes, j’ai compris que nous faisions la complète. Et je l’ai enculé de bon cœur, me disant que c’était la dernière fois.
— Ça, je ne l’ai pas encore accordé à Jean, c’est son cadeau pour demain soir. J’espère qu’il ne s’apercevra pas que c’est un cul d’occasion.
— Oui, mais une bonne occasion, bien rodée.
Et nous avons éclaté de rire.
Le lendemain, je suis allé chercher les mariés. Ils avaient loué une voiture de luxe et m’avaient demandé d’être leur chauffeur. Je suis arrivé en Mercedes devant chez eux.
On m’a présenté aux parents, à toute la famille. Dans mon costume sombre, je me serais cru à Buckingham. Puis est arrivé le couple, lui en smoking, elle en robe blanche, comme une pucelle.
— Voila, nous sommes prêts. Au fait me dit Aline, j’ai oublié de te présenter ta cavalière : elle s’appelle Nathalie.
Et j’ai vu arriver notre copine qui se marrait. J’ai bien ri avec elles.
À la mairie, à l’église, j’ai essayé de tenir le mieux possible mon rôle. Heureusement, Nathalie était le second témoin d’Aline, elle m’a conseillé, guidé. Nous avons signé toutes sortes de registres certifiant que nous étions bien d’accord.
Le repas se déroulait dans un restaurant réservé pour l’occasion. Chère excellente, vins ...
... capiteux, tout était parfait. Avec Nathalie nous étions à la table des mariés avec les parents, les autres témoins. Nous aurions préféré nous trouver avec les jeunes.
Heureusement est arrivé le moment du bal. Nous allions pouvoir nous dégourdir les jambes. Après les mariés, nous avons été les premiers à entrer en piste. Nous nous connaissions bien, et nous nous entendons aussi pour danser. De retour à la table, nous avons un peu soufflé. Mais un garçon est venu l’inviter. Elle m’a regardé, j’ai souri, elle y est allée.
Sur la piste, tous deux s’accordent à merveille, il vaut mieux que je cherche une autre partenaire. Il y a une jeune donzelle d’une vingtaine d’années à la table voisine, qui me conviendrait bien. Je m’avance vers elle, elle accepte avec un grand sourire. Bien que plus jeune que moi, c’est déjà une belle femme. Son corps ressemble un peu à celui de Nathalie, ou de Aline.
Sur la piste, ma compagne officielle se trémousse toujours dans les bras de son cavalier. L’orchestre s’arrête quelques minutes, nous en profitons pour nous retrouver. Discrètement elle me dit :
— Laurent, je t’aime bien, je voulais que nous finissions la nuit ensemble. Mais j’ai trouvé un mec qui me plaît bien. Je viendrai te compenser un de ces jours.
— Tu as raison, pars avec lui. Mais pour la compensation, j’y compte, quand tu voudras.
Je suis revenu auprès de ma cavalière inconnue.
— Ta nana te lâche. ? me demande-t-elle.
— Oh, nous nous connaissons bien, c’est une bonne amie ...