1. Le peintre et sa muse (2)


    Datte: 01/05/2020, Catégories: Hétéro Auteur: lerelieur, Source: Xstory

    ... couvrait son sexe et me la tend. Elle est rouge de honte, mais je devine en elle une envie de soumise qu’il me faudra exploiter.
    
    Je la porte à mon nez afin d’en humer les fragrances et je sens déjà une humidité certaine. Annie n’ose pas me regarder, mais je sais que c’est gagné : je vais faire ce que je veux d’elle.
    
    Arrivée devant le chalet de jardin, Annie m’invite à entrer :
    
    — Entrez, voici l’antre de Bernard. Il passe des heures et des heures à bricoler ici. C’est son domaine.
    
    Elle me dit cela face à moi, avec un regard qui semble être un défi.
    
    Je découvre ce petit chalet avec aux murs des outils, des boîtes avec vis, clous, des scies, perceuses... tous bien rangés. Au milieu, une grande table de travail, mais propre. Contre un mur, un canapé. Je semble surpris, aussi elle se sent obligée de préciser :
    
    — Oui Bernard en profite parfois pour faire la sieste lorsqu’il est fatigué. Il a bientôt 70 ans !
    
    Alors, dans cette ambiance d’intimité, dans ce cadre inhabituel, je ne peux me retenir davantage. Je m’approche d’Annie, je la prends contre moi, et ma bouche cherche la sienne. Et elle ne recule pas ; au contraire, elle ouvre sa bouche, nos langues se rencontrent. Et tandis que nous échangeons notre premier baiser, je pose mes mains sur la jupe d’Annie à la hauteur de ses cuisses et je remonte vers les hanches, entraînant par la même occasion tout le tissu.
    
    Sa jupe se réduit à un bourrelet autour de ses hanches, et voilà enfin Annie fesses et sexe à ...
    ... l’air, entièrement à ma merci, docile et prête à tout.
    
    Je la soulève en la prenant par les cuisses ; mon sexe, à l’étroit dans mon pantalon, se plaque sur le pubis d’Annie qui ne peut pas ne pas le sentir. Je n’ai qu’une envie : la prendre la faire jouir. Je la dépose sur la table ; Annie déboucle ma ceinture et déboutonne mon pantalon qui tombe à mes pieds, puis elle pose sa main sur ma tige turgescente, bandée à m’en faire mal.
    
    On se regarde les yeux dans les yeux. Elle me dit :
    
    — Mon Dieu, tu es gros… C’est terrible, c’est un rêve !
    
    Je baisse mon slip qui rejoint mon pantalon.
    
    C’est vrai que la petite main d’Annie a du mal à faire le tour de mon sexe.
    
    Pendant qu’elle caresse mon vit qui est dur et dressé, d’une main j’écarte un peu plus Annie et de l’autre j’explore son sexe déjà trempé ; il est tout lisse. Un doigt, puis deux dans son vagin, puis je frotte mon pouce sur le haut de sa fente. Sous la pulpe de mon pouce je sens son bouton tendu, hors de sa cachette. Ses petites nymphes engluées de cyprine entourent mes doigts, mais je ne peux pas résister plus longtemps au doux parfum entêtant de sa chatte, alors je tombe à genoux.
    
    La tête entre les cuisses d’Annie, je n’enivre du doux parfum de sa ruche.
    
    Puis je lape tout ce nectar opalescent. Je nettoie toutes ces petites chairs brûlantes entre mes lèvres, j’aspire ce clitoris gorgé de sang, tendu vers un plaisir qui ne saurait tarder. Il est petit, mais dur.
    
    Ses cuisses enserrent ma tête, j’entends ...