Le peintre et sa muse (2)
Datte: 01/05/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: lerelieur, Source: Xstory
... déplacé pour nous amener le tableau. Bernard, va chercher quelque chose à boire.
L’homme se lève, il sort, je l’entends ouvrir une porte, des pas, il doit aller dans la cave. Alors je poursuis :
— Mais je vous rends visite exceptionnellement pour vous, chère Madame, je ne le fais jamais, c’est toujours mon agent qui s’en charge. Mais pour vous j’ai tenu à le faire. Et si nous cherchions un emplacement pour cette aquarelle ? Mais si mes souvenirs sont exacts, je crois que vous vouliez l’accrocher dans votre séjour.
Elle acquiesce de la tête, se lève et je fais de même. On se déplace un peu pour aller dans la pièce qui est une salle de séjour avec télé, meubles, et trois grands murs blancs. Je suis à ses côtés, je vois de près sa poitrine très gonflée.
Je me permets même dans ma tête de l’estimer... 90D ou 95C ? A vérifier, quand je dégraferai son soutien-gorge pour remplacer les bonnets par mes deux mains.
Je déballe le tableau après l’avoir posé sur la table basse. Annie se penche pour le regarder de plus près ; la jupe courte dévoile le haut de deux belles cuisses fermes.« Qu’elle ne reste pas ainsi, sinon je vais finir par y mettre les mains ! »
— Nous avons le choix entre trois murs. Pour ma part, je choisirais le mur que l’on voit en entrant dans la pièce ; ainsi, chaque fois que vous franchirez la porte, les souvenirs de vos vacances vont vous revenir à l’esprit. Mais il faudrait un crochet, ou au moins un clou et un marteau. Vous devez avoir cela, ...
... Annie ? Vous permettez que je vous appelle par votre prénom ? Un de mes tableaux chez vous, c’est un peu comme si j’entrais dans votre intimité, n’est-ce pas ? Et si nous allions chercher ce clou ensemble ?
C’est à ce moment-là que son homme revient avec une bouteille, et j’entends Annie lui dire :
— Prépare les coupes et aussi des gâteaux. Nous allons dans le petit abri de jardin où tu ranges tes outils de bricolage pour chercher de quoi accrocher le tableau.
Je suis Annie. Nous sortons par la porte-fenêtre du coin cuisine qui donne sur une belle terrasse. Je ne peux m’empêcher de regarder autour de moi. Cette terrasse est à l’abri d’autres regards : pas de maisons aux alentours, que des prés et de la forêt.
Nous passons à côté de la piscine couverte et marchons dans l’herbe vers un joli cabanon au fond de la propriété. Annie, avec ses escarpins, a un peu de mal à se déplacer et – oh, surprise agréable ! – ses seins ballottent quand elle se déplace. Je pense qu’ils doivent être lourds. Elle ôte ses escarpins pour marcher pieds nus dans l’herbe. Je la prends de nouveau par le bras, m’assure que l’on ne peut plus nous voir depuis la maison et je lui dis :
— Donnez-moi vos escarpins et retirez votre petite culotte ; vous serez plus à l’aise. Et donnez-la-moi ! Je vous tiens.
Ce faisant, j’accentue ma pression sur son bras. Elle ne résiste pas : elle me donne ses escarpins, passe son autre main sous sa jupe, et élégamment elle retire la petite lingerie qui ...