Pulsion passion - Histoires de Sexe

Pulsion passion

... qu’augmenter mon état d’excitation.

— Je vous sens nerveuse… Auriez-vous peur ?
— Non, dis-je avec empressement. Mais je n’en peux plus. J’ai tellement envie.
— Femelle en rut, dit Jim en riant.
— En rut et prête à s’assouvir avec un mâle… peu importe la manière.

Jim a une mimique de satisfaction.

— Desserrez vos jambes, que je puisse flairer le fumet de la femelle en chaleur.

J’obéis, non sans avoir jeté un coup d’œil furtif autour de moi. Il ne reste dans la salle à manger que le vieux pianiste, et il nous tourne le dos.

— Assez lubrifié ?
— Pourquoi ne pas le constater par vous-même ?
— Pensez-vous que j’appartienne à la catégorie de ceux qui tripotent la connasse d’une pute en un lieu public ? s’emporte Jim.

Je me mords la lèvre, un peu honteuse de cette proposition déplacée.

— J’ai une meilleure idée, dit-il après avoir réfléchi.

Je le regarde griffonner quelques mots sur un bout de papier qu’il a sorti de sa poche.

— Allez donc porter ce petit mot au pianiste, dit-il en pliant le feuillet. Et attendez sa réponse.

Je me lève sans trop comprendre où il veut en venir et me dirige vers le vieux type. Lorsque je suis à sa hauteur, il se tourne vers moi. Son regard s’attarde sur mes jambes et remonte lentement vers mon visage. Il me sourit. Je lui tends le papier. Il cesse de jouer, lit et me le redonne. Je ne peux m’empêcher de lire à mon tour.

Incrédule, le vieil homme jette un regard en direction de notre table. Jim lui fait signe. Je ...

... sursaute au contact d’une main froide qui s’est posée sur ma jambe, juste au-dessus du genou. Elle remonte doucement entre mes cuisses que je resserre instinctivement.

— Holà ! fait la voix de Jim.

Docile, je desserre les genoux. Les doigts tremblants de désir reprennent leur ascension. Lorsqu’ils entrent en contact avec mon intimité, mon corps est envahi par un frisson incontrôlable. L’individu aux cheveux gris ricane. Je ferme les yeux, incapable de soutenir son regard vicieux. Il me touche, palpe ma vulve gonflée avec frénésie. Ses doigts s’insinuent entre mes lèvres, cherchent à s’introduire en moi. Je veux à nouveau resserrer mes cuisses, mais Jim intervient encore depuis notre table. Je n’ai d’autre choix que de me laisser faire. Plusieurs doigts me pénètrent profondément. Son pouce écrase mon clitoris. Des éclats de voix me font sursauter. J’ouvre les yeux et j’aperçois mon mari qui s’approche. Sophie est pendue à son bras et ils rient de bon cœur. Je lance un regard paniqué en direction de Jim, mais l’arrivée impromptue d’Alex ne semble pas le troubler.

— Que se passe-t-il ? demande mon mari qui vient de m’apercevoir près du piano.
— La généreuse Jane offre un pourboire à ce brave pianiste qui nous a si talentueusement tenu compagnie toute la soirée.

Une fois encore, la présence de mon époux me contrarie. Ne pouvait-il pas rester entre les fesses de cette poufiasse ! Maintenant il est là à me regarder en train de me faire tripoter par un vieux porc sans ...