Pulsion passion - Histoires de Sexe

Pulsion passion

... dire un mot. Je laisse soudain échapper un cri. Le salaud de vieux me masturbe sans aucune gêne et personne n’intervient pour l’en empêcher. Je me tortille pour tenter d’échapper à la caresse perverse. Le type ricane de plaisir. Je me mets à jouir malgré moi. Mon corps tremble, mes jambes ne me portent plus. Je fléchis les genoux et le vieux en profite pour plaquer son visage sur mon bas-ventre.

— Suffit ! tonne Jim.

L’homme se ravise et s’excuse. Jim me rejoint et me saisit fermement par le bras.

— Vous ne savez vraiment pas retenir vos instincts de salope, gronde-t-il. Vous vous affalez comme une cochonne sous les attouchements du premier vieillard venu.

Il se saisit de mon pardessus et me le jette.

— Rhabillez-vous. Max nous attend.

Sophie ricane et veut prendre congé, mais Jim l’interpelle.

— Mademoiselle, avez-vous d’autres engagements ce soir ?
— Non, Monsieur.
— Alors venez avec nous. J’ai encore besoin de vos services.

Nous sortons du restaurant. Les gens se pressent sur le trottoir. Je resserre les pans de mon pardessus. Jim tient toujours mon bras et nous marchons d’un pas déterminé en direction de la limousine qui attend sur le coin de la rue. Max ouvre la portière.

— Conduisez-nous dans un endroit tranquille, que l’on s’amuse un peu.
— Bien, Monsieur.

Jim me jette sur la banquette et Sophie prend place à côté de moi. Je déteste cette fille à qui Alex coule des œillades amoureuses. Le lourd véhicule se met en mouvement. Tout en me ...

... dévisageant, Jim s’adresse au chauffeur.

— Eh bien mon cher Max ! La chasse a-t-elle été bonne ?
— Pas vraiment Monsieur. Vous connaissez mes goûts.
— Oui, je les connais, réplique son patron. Vous êtes exigeant et vous avez raison.

Jim allume la lumière du plafonnier. Il se penche et me saisit par les cheveux, me forçant à me tenir dans le champ de vision de son chauffeur.

— Comment trouvez-vous celle-là ? grince-t-il.

Max m’observe à la dérobée dans son rétroviseur.

— Très bien, Monsieur. J’ai eu l’occasion tout à l’heure de me faire une idée de ses atouts.

Jim me saisit par les coudes qu’il ramène en arrière, me forçant à bomber la poitrine.

— Vous êtes amateur de beaux seins, je crois.
— Tout à fait, Monsieur.

En quelques gestes rapides, il a retiré mon chemisier et je me retrouve seins nus. Avec des gestes vulgaires, il soupèse ma poitrine. Max a un sifflement d’admiration.

— Elle vous plaît, n’est-ce pas ?
— Certes, Monsieur.
— Eh bien je vous l’offre, déclare Jim.
— Merci, Monsieur.

Mon sang ne fait qu’un tour. Je regarde Jim avec incrédulité.

— Qu’y a-t-il ma chère ?
— Vous n’allez tout de même pas…
— N’avez-vous pas déclaré m’appartenir ? Je fais donc ce que je veux de vous. C’est le jeu.
— Oh non ! Je vous en supplie.
— Max est un garçon très propre, ajoute Jim. Et une pute comme toi n’est pas à un client près.

Je cherche le regard de mon mari, m’attendant à ce qu’il intervienne. Mais ce salaud est trop occupé à tripoter ...