Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (2)
Datte: 27/04/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: bobby29, Source: Xstory
... doucement mon bassin... Hmmm... Adonis... mon bel éphèbe. Tu m’as tant fait jouir hier ! Tu as si bien inspiré ma main... Je veux voir ta belle queue... Viens en moi ! Je te sens...
Un plongeon ! Je viens d’entendre plonger ! Non... il vient, c’est sûr ! Ce n’est pas possible. Je ne peux pas ! Vite, je me relève et enfile mon maillot. Je me retourne en finissant d’agrafer mon soutien-gorge. Je ne vois rien. Pas de nageur. Où est-il ? Je l’ai bien entendu, pourtant ! Soudain, à l’autre bout de la crique, je vois une tête sortir de l’eau, un peu au-delà du rocher où il pêche d’habitude. C’est lui ! Il respire et replonge presque aussitôt. Il réapparaît au bout d’une minute environ, toujours au même endroit. Il cherche quelque chose là-bas, c’est sûr. Il replonge, ressort, et enfin retourne vers le rocher. Il grimpe, tire sur la corde du filet et le remonte. Il devait être coincé, il a dû plonger pour le détacher. A moins que ce soit autre chose ? Je le regarde. Il est tellement beau... Mon Adonis... Le filet est vide. Il le détache de la corde et le met dans sa besace. Il doit peut-être le réparer ? Il se retourne. Me voit. Je lui fais un large salut de la main, lui m’adresse un signe de la tête. Je lui souris. Il reste me regarder, hésite. Il s’assoit au bord du rocher, les pieds ...
... dans l’eau. Nous nous faisons face, à 20 mètres de distance. Il regarde l’eau. Lève parfois la tête vers moi. Il m’attend ? Je n’ose pas le rejoindre. Je reste assise sur la plage de marbre, au soleil. Il voit mes jambes, mon ventre, mes seins, couverts cette fois-ci... Et si je les dévoilais ? Non, pas maintenant, me déshabiller à nouveau, devant lui, ce serait vraiment... Il me regarde intensément à présent. Je sens son regard perçant. Je suis presque mal à l’aise... Enfin, au bout de longues minutes, il se relève. Il se retourne. Il commence à escalader la falaise. Je le suis. Mon regard ne quitte pas son dos aux muscles tendus, ses longues jambes fines et puissantes, ses fesses sublimement moulées dans son shorty de bain... Les muscles qui travaillent, le tissu rouge mouvant, se tendant, se relâchant, vivant, sur ces deux collines ondoyantes...
Il atteint le haut de la falaise. Il me regarde une dernière fois. Je le perds de vue. Je m’allonge. Je soupire. Je passe mes bras sous mon buste, à la rencontre des deux agrafes... Mes deux blancs mamelons, gonflés, se dévoilent... Le soleil me prend, toute entière... Je suis sur le dos, yeux fermés. Mon bas de maillot bleu marine gît à mes pieds. Je sais que là-haut, au bout de la crique, avant le virage, vers la maison, Adonis me regarde.