Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (2)
Datte: 27/04/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: bobby29, Source: Xstory
... marcher un bon kilomètre, en suivant la route. Je regarde la mer, en contrebas. Elle me fait face, me nargue, m’appelle. J’aimerais tant nager à nouveau... J’aperçois la petite crique. En marchant sur la route, je suis allée bien au-delà de cette anse. Un chemin a l’air de descendre vers la falaise ici aussi. Je décide de l’emprunter et de rejoindre la maison par le sentier côtier. Au bout de vingt minutes, j’arrive à la hauteur de la crique, sur la rive opposée à la maison, que j’aperçois au loin. Je regarde l’eau limpide, les fonds envoutants, la petite plage de marbre dans le creux de la falaise, tout au fond... Depuis l’autre jour je n’ai pas osé me lancer à nouveau seule dans l’escalade de ce mur blanc. J’avais bien réussi à remonter seule, mais c’est plus facile que la descente.
Mais elle est là, l’eau brillante dans la lumière matinale... Il va faire si chaud... J’aimerais tant m’y plonger, me délasser, oublier... J’avance jusqu’au débouché de la voie d’escalade. J’en ai trop envie. Je décide d’y aller. Je retire mes chaussures. Je m’engage dans la descente. Le début est facile. Cette fois-ci j’ai bien retenu le cheminement, je quitte la faille à temps. Le bas du parcours est plus difficile, mais finalement je ne m’en sors pas trop mal, mon pied cherche parfois longtemps son nouveau point d’appui mais je finis par atteindre le rocher. Bravo ma vieille, tu n’es pas encore trop rouillée ! Je saute et me réceptionne sans tomber. Ouille ! Mes pauvres pieds !
Je me ...
... retrouve au bord de l’eau. Je réalise qu’en sortant ce matin je n’avais nullement l’intention de me baigner et je n’ai pas pris mon maillot ! Je suis simplement vêtue d’un body et d’un short, sur ma culotte de coton. Tant pis. Maintenant que je suis ici... De toute façon, à cette heure-ci, il n’y aura personne. Je me déshabille, garde seulement ma culotte, et plonge. L’eau est parfaite, à la même température que l’air. Je suis bonne nageuse, je décide d’explorer la crique. Je la traverse, m’éloigne un peu vers le large, fais le tour de quelques rochers, plonge. Entre les algues, j’aperçois des oursins, des étoiles de mer, un ou deux crabes, je croise quelques poissons. C’est fabuleux. Je me rapproche du fond de la crique. Je reste flotter de longues minutes sur le dos. Puis je décide de rejoindre la plateforme sous la falaise. Je me hisse sur le rocher de marbre et m’assois, face à la mer. Je réalise que, mouillée, ma culotte blanche laisse totalement transparaître ma peau... Et la toison de mon entrejambe. Evidemment ! Quelle sotte ! J’étais tellement pressée de nager, j’ai oublié ce petit principe physique ! Heureusement qu’il n’y avait personne. J’aurais pu tout autant y aller nue ! D’ailleurs...
Je plonge. Je suis nue. J’ai abandonné mon dernier vêtement sur le marbre blanc. Je plonge, je flotte, je tourne sur moi-même, je virevolte dans l’eau limpide. Je me confonds avec la mer, je la sens tout autour de moi, plus fortement que jamais. C’est fou comme ce seul petit ...