1. Revolution Chapitre 02


    Datte: 26/04/2020, Catégories: Épouses affectueuses, Auteur: byomrouge, Source: Literotica

    ... allonge-toi"
    
    Je ne compris pas où elle voulait en venir mais je n'eus pas à attendre longtemps. Sitôt que je fus étendu sur le lit, elle m'attacha les pieds et les mains aux montants du lit avec des bas,. Elle quitta un instant la chambre et revint avec une boule de tissu dans une main et un gros rouleau de Scotch à paquet dans l'autre.
    
    "Ouvre la bouche"
    
    Posant le Scotch, elle déplia la boule de tissu qui se révéla être une culotte qu'elle retourna pour en observer l'entre-jambes.
    
    Satisfaite, elle me l'enfonça dans la bouche et la scellant avec une large bande de Scotch.
    
    "Voilà, comme ça, tu penseras à moi" Elle quitta la chambre et peu de temps après, j'entendis claquer la porte d'entrée.
    
    La culotte avait été porté et l'odeur musquée caractéristique du sexe de Carole m'envahit. J'avais la langue bloquée contre la bande de coton de l'entre jambes et je goûtais la légère amertume des sécrétions sèches qui redevenaient visqueuses au fur et à mesure que ma salive les délayait. J'éprouvais la douleur maintenant habituelle de la cage qui restreignait ma tentative d'érection.
    
    Le temps passait lentement . J'étais maintenant imprégné de l'odeur et de l'amertume de ces sécrétions. J'avais débandé et je m'ennuyais. Les bas étaient serrés et j'étais complètement immobilisé.
    
    Plus que tout, je ne cessais de penser à Carole et à ce qu'elle pouvait bien faire.
    
    Elle s'était habillée comme si elle voulait séduire, et le fait qu'elle me laisse comme ça, encagé, ...
    ... attaché sur le lit avec une culotte sale dans la bouche ne faisait que renforcer mes pressentiments. Elle m'avait prévenu et sans doute cherchait elle un homme pour coucher. Peut être même était elle déjà avec lui. Ça me faisait tellement mal d'imaginer ça que j'en avait mal au cœur.
    
    Le temps passait lentement, mais j'étais torturé par cette idée. Son absence durait trop long- temps. J'étais sûr qu'elle était en train de se faire sauter. Le soir commençait à tomber quand j'entendis la porte d'entrée.
    
    Je pensais qu'elle allait venir me délivrer mais je me trompais et je l'entendis un bon moment aller et venir dans la maison avant qu'elle vienne s'accouder au chambranle de la porte, me fixant en souriant un verre de vin à la main. "Alors chéri, je t'ai manquée?"
    
    Je voulu répondre mais seul un vague gargoullis sorti de mon bâillon.
    
    "J'ai rencontré un homme et je crois que tu ne va pas tarder à être cocu."
    
    Je me mis à hurler dans mon bâillon, la suppliant de ne pas faire ça, mais à nouveau, ce ne fut qu'un borborygme incompréhensible. Je sentais des larmes me couler sur les joues.
    
    Elle me regardait avec compassion et je me mis à espérer que tout cela n'était qu'un conte destiné seulement à me faire mal.
    
    Posant son verre, elle s'approcha et ôta ma cage de chasteté, puis elle arracha d'un geste brusque la bande de Scotch et sortit la culotte trempée de salive de ma bouche.
    
    Sitôt libre de parler, je lui renouvelais ma prière d'une voix plus suppliante que je ne ...
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