Revolution Chapitre 02
Datte: 26/04/2020,
Catégories:
Épouses affectueuses,
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
... gardais bien de lui dire que je ne m'attendais pas à ça.
«Lève-toi et baisse ton pantalon »
«Quoi »
«Tu m'as entendue »
Sans trop savoir pourquoi, mais un peu excité par son ordre, j'obtempérais »
«Approche »
Elle saisit ma cage dans ses mains pour l'observer
«Ça te fait mal »
«Non »
«Tu sais, depuis qu'on a acheté ce truc, je me suis documentée. Il parait que ça fait mal quand on bande, c'est vrai »
«Je ne sais pas »
Elle me regarda étonnée.
«Tu n'as pas bandé depuis quinze-jours? »
«Non, pas vraiment »
Elle prit un air rêveur et me lâcha
«Rhabille-toi »
J'avais eus un certain espoir quand elle m'avait dis de baisser mon pantalon, et c'est avec regret que je le remontais. Ce soir là, Carole vint se coucher avec une fine nuisette en nylon noir.
Après des années ou elle se couchait avec une épaisse chemise de nuit de coton, voire ainsi sa poitrine généreuse presque exposée dans la dentelle me fit un effet incroyable. Je partageais le lit de cette femme depuis 30 ans et j'étais encore excité par la simple vu de son corps légèrement habillé.
Je sentis tout de suite à la brusque douleur que je rentrais en érection...ou du moins, que j'essayais
La chaleur de son corps, l'odeur de ses cheveux. J'avais l'impression de redécouvrir la femme que j'aimais.
Elle se mit en chien de fusil et m'attira vers elle pour que je la prenne dans mes bras. Ma cage était coincé entre ses fesses.
C'était très paradoxal, en même temps, ...
... j'étais au paradis en embrassant le corps de ma femme, en même temps en enfer avec la douleur vive que j'éprouvais dans mon membre.
Assez vite, je sentis à sa respiration lourde et régulière qu'elle s'était endormie. Je mis moi longtemps à trouver le sommeil.
À partir de ce soir là, les choses empirèrent. Carole ne manquait pas une occasion de m'exciter, toujours avec beaucoup de retenue et sans le montrer, mais elle me connaissait par cœur et elle savait toujours jouer avec les ressorts qui m'avaient séduits chez elle 30 ans plus tôt. À chaque fois le résultat était le même et je ne pouvais réprimer une grimace sous la morsure de la cage.
Ça la faisait toujours sourire. Malice, cruauté ou satisfaction de se sentir désirée, je crois que c'était un peu de tout ça.
Un soir, quand je vins me coucher, elle était assise sur le lit, l'air songeur. Je la fixai, interro- gateur.
«Écoute Pascal, j'ai décidé de dormir nue »
Je sentis à l'inconfort de la cage, que ce qu'elle disait m'excitait déjà.
«Je sais l'effet que ça te fait et je ne veux pas te faire souffrir inutilement. Alors je te demande d'aller coucher dans la chambre d'amis. »
J'étais catastropĥé par cette nouvelle.
«Non, non, c'est pas la peine »
Sa voie se fit plus autoritaire, comme une mère morigénant son enfant
«Je ne t'ai pas proposé, je t'ai demandé »
La mort dans l'âme, je partis me coucher dans la chambre d'amis. C'était une chambre assez sobre, sans fenêtre et avec une armoire et un lit ...