1. Revolution Chapitre 02


    Datte: 26/04/2020, Catégories: Épouses affectueuses, Auteur: byomrouge, Source: Literotica

    ... contact brutal était de trop et je me sentis me vider par pulsations, sans éprouver ce plaisir explosif que j'attendais tant.
    
    Il y eut un instant de silence, je cherchait à reprendre ma respiration dans cette odeur moisie. Se décalant, elle remplaça son pied gauche qu'elle maintenait contre mon visage par le droit, dont le bas était enduit de sperme.
    
    «Lèche »
    
    Ça me dégoûtait vraiment et j'hésitais à me relever, pourtant, je ne sais pas pourquoi, j'obéis
    
    et passais la langue sur le nylon gluant. Cela dura longtemps avant que le bas fut propre, le mélange du sel de sa sueur et du sperme âcre était révoltant, mais plus que cela, c'est la consistance glaireuse qui m'emplissait la bouche qui me donnait des hauts le cœur tandis que je léchait ce pied souillé.
    
    Elle me fixait, l'air surprise. je ne dis rien, le cœur au bord des lèvres.
    
    Retirant son pied, elle remit tranquillement ses chaussures tandis que je me relevais avec la tête qui tournait.
    
    «Françoise me l'avait dit mais je ne pouvais pas la croire, ça te fait bander de sentir ça » Je la regardais d'un air bête, me sentant vaguement coupable.
    
    «Oui, je ne sais pas... »
    
    «Mais ça pue! »
    
    «Écoute Carole, je sais que tu as un problème avec tes odeurs, mais moi je ne l'ai pas. Je ne sais pas ce qui m'as fait bander, c'est autant le fait que tu m'impose ça, que l'odeur de tes pieds...et puis, j'étais en manque »
    
    Elle me regardait interdite.
    
    «Tu ne m'as jamais dit que tu aimais ça »
    
    «Je ne le ...
    ... savais pas moi même.Tu m'as dit que tu découvrais des choses depuis que tu m'as mis en cage. Moi aussi. Et puis, plus que l'odeur, c'est le fait que tu me l'impose alors que tu déteste ça qui m'a excité » «Tu es vraiment bizarre »
    
    «Peut-être »
    
    «Bon, viens là que je remette ta cage »
    
    Nous passâmes une soirée étrange. curieusement, cet épisode nous avait encore rapproché si c'était possible. Elle m'expliqua ce qu'elle ressentait.
    
    «Tu sais, j'ai toujours eu peur que mes odeurs gênent, je n'aurais jamais imaginé ce qui s'est passé ce soir. Quand Françoise me l'a dit, je l'ai pris pour une folle et malgré ce qu'elle disait, il n'était pas question que j'essaie. Et puis j'ai quand même essayé. J'étais certaine que tu allais te relever en criant que je puais, mais quand j'ai vu que, non seulement tu ne te relevais pas, mais que ça te faisait bander, ça m'a fait quelque chose, comme si on m'enlevait un poids que je portais depuis mon plus jeune âge »
    
    Elle me regarda amoureusement et posa sa main sur le mienne.
    
    «Je t'aime Pascal, tu es fou, mais je t'aime »
    
    «Moi aussi Carole, tu ne peux pas savoir à quel point je t'aime »
    
    Elle me répondit des larmes dans les yeux.
    
    «Je crois que je le sais »
    
    C'est un samedi après midi que les choses prirent une autre tournure. Il pouvait être 17 h quand Carole m'appela dans ma chambre . Elle s'était habillée pour sortir, légèrement maquillée avec un soupçon de son parfum.
    
    "Euh, on sort?"
    
    "Moi je sors. Déshabile-toi et ...
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