Revolution Chapitre 02
Datte: 26/04/2020,
Catégories:
Épouses affectueuses,
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
... m'attacha sur le lit, me bâillonna mais me retira ma cage et sortit. Elle avait tiré la porte, mais ne l'avait pas fermé. Je commençais à me morfondre quand j'entendis la clé dans la porte d'entrée. Elle ne devait pas être partit pendant plus de deux heures et je commençait à espérer que l'aventure avec Marc tirait à sa fin. Les paroles de Françoise me revinrent en mémoire :
«...elle reviendra vers toi....»
Sa réplique me fit froid dans le dos. Ainsi, elle envisageait sérieusement de pérenniser cette pratique dégoûtante. Qu'était-je devenu pour elle, une sorte de toilette ambulante? Ma chemise mouillée et froide me collait au corps, l'odeur que j'avais dans le nez et le goût dans ma bouche me mettait le cœur au bord des lèvres, et pourtant, l'inconfort de ma cage prouvait que malgré mon écœrement, tout cela m'excitait.
Ce samedi là, comme souvent maintenant, elle m'attacha sur le lit, me bâillonna mais me retira ma cage et sortit. Elle avait tiré la porte, mais ne l'avait pas fermé. Je commençais à me morfondre quand j'entendis la clé dans la porte d'entrée. Elle ne devait pas être partit pendant plus de deux heures et je commençait à espérer que l'aventure avec Marc tirait à sa fin. Les paroles de Françoise me revinrent en mémoire :
Mais tout de suite, mon espoir fut douché. Carole parlait avec quelqu'un et c'est une voix d'homme qui lui répondait. Je compris son stratagème délirant, je hurlais dans mon bâillon et des larmes me vinrent aux yeux. Elle allait baiser ...
... avec lui dans notre lit. Elle n'avait pas le droit. On avait en ce moment une vie bizarre, mais c'était notre maison, notre chambre notre lit, même si ça faisait un moment que je n'y avais pas mis les pieds. Je me souviens à peine du reste. C'est comme si un autre que moi était là, attaché sur son lit, à écouter attentivement les bruits qui lui faisaient tant de mal.
Il eut d'abord une musique douce dans laquelle je reconnus les gymnopédies de Satie. Puis la musique changea ...du Clapton...et les bruits de paroles entrecoupés de silence où j'imaginais avec détresse qu'ils s'embrassaient et se caressaient. Des bruits de vaisselle. Ils dînaient. Ils parlaient à voix haute mais je ne parvenais pas à comprendre ce qu'ils disaient
Et puis, ils montèrent dans la chambre.
«Ça me gène un peu pour ton mari »
«Ne t'inquiète pas, il est en voyage »
Un bruits de ceinture, puis des gémissements masculins.
«Il n'y a pas à dire, tu suces bien »
Elle le suçait!!! Cela faisait des années qu'elle n'avait pas fait ça avec moi et je savais qu'elle n'aimait pas ça...enfin, avec moi.
«Arrête, je vais jouir »
«T'as pas intérêt, prends moi »
Et puis le bruit du sommier quand il allait et venait en elle,
«Ça te plaît de te faire baiser salope »
«Tu n'es qu'une putain » «Regarde moi cette chatte, elle n'a qu'une envie, c'est de se faire fourrer »
Il était très expressif quand il baisait. Souvent, elle m'avait reproché mon mutisme. De ce point de vue elle devait ...