1. Revolution Chapitre 02


    Datte: 26/04/2020, Catégories: Épouses affectueuses, Auteur: byomrouge, Source: Literotica

    ... Carole restreignait mes prérogatives. Elle ne devenait pas distante pour autant et ne se privait pas de me caresser, ou de me faire de bises. Mais elle ne m'embrassait plus, et je n'osais pas faire le premier pas certain qu'elle allait me rembarrer.
    
    Le seul moment où nous gardions une certaine forme de relations sexuelles, c'est quand je la suçais. Et c'était de plus en plus souvent, dans toutes les positions et dans tous les lieux. Elle ,si prude autrefois, avait bien changé sur ce point. Elle avait pris beaucoup de plaisir à cette première expérience sur le lit et maintenant, elle aimait autant les anulingus que les cunilingus. Elle ne s'occupait pas de savoir si elle était propre quand l'envie lui prenait mais ça me plaisait tant de lui donner du plaisir que j'oubliais la gène que j'éprouvais parfois.
    
    Un soir, je la léchais à quatre pattes entre ses jambes pendant qu'elle regardait la télé, 'pas pour la faire jouir mais simplement pour la détendre' comme elle me l'avait dit quand elle me saisit par les cheveux et m'appliqua fermement contre sa chatte.
    
    «Ouvre la bouche »
    
    À peine eus-je obéit qu'un puissant jet d'urine me remplit la bouche. La surprise me fit tousser et ma chemise fut trempée. J'essayais consciencieusement de capter le maximum du liquide chaud et âcre quelle déversait sans retenue, mais le flot trop rapide et la répulsion instinctive que cela provoquait me faisait hoqueter, en répandant autant que j'en avalais. Cela dut durer quelques secondes, ...
    ... mais ça me parut une éternité. Me tenant fermement par les cheveux, elle empêchait mon réflexe de recul et me maintenait contre elle tandis qu'elle continuait sa miction. Quand enfin le jet se tarit et qu'elle me relâcha, je m'assis sur les pieds, éberlué par ce qui venait de se passer Ma chemise était trempée et une flaque s'étalait sur le parquet. J'avais dans la bouche ce goût âcre d'urine et ma gorge était vaguement irritée par le liquide acide que j'avais absorbé.
    
    Je n'en revenais pas. Elle m'avait pissé dessus. C'était à la fois écœurant et étrangement éro- tique. Et dire qu'il y a quelques mois, elle se cachait pour pisser.
    
    Elle me rappela à la réalité.
    
    «Nettoie ça et remet-toi en place »
    
    Après avoir épongé la flaque qui était sur le parquet, je me remis à quatre pattes entre ses jambes, préoccupé par ce qui venait de se passer. Je léchais les dernières gouttes d'urine sur ses lèvres et dans ses poils et repris mon lent cunilingus.
    
    «Tu en a mis partout, il va falloir qu'on trouve une solution »
    
    Sa réplique me fit froid dans le dos. Ainsi, elle envisageait sérieusement de pérenniser cette pratique dégoûtante. Qu'était-je devenu pour elle, une sorte de toilette ambulante? Ma chemise mouillée et froide me collait au corps, l'odeur que j'avais dans le nez et le goût dans ma bouche me mettait le cœur au bord des lèvres, et pourtant, l'inconfort de ma cage prouvait que malgré mon écœrement, tout cela m'excitait.
    
    Ce samedi là, comme souvent maintenant, elle ...
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