Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée (1)
Datte: 26/04/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... un premier contact et j’avais mis cette tenue. Je me disais que ça pourrait faire de l’effet. Mais, après l’entretien, la directrice m’a fait savoir que pour faire la classe, une tenue plus décente était nécessaire. Mais devant ma réticence, elle a accepté que je porte simplement une blouse par-dessus, pendant les cours.
— Elle vous a dit ça ? Vraiment étonnant... quand je suis arrivée ici, elle venait d’être nommée directrice. Je portais une tenue du même genre que la vôtre et elle m’a clairement fait savoir que je devais porter une tenue décente pour venir à l’école. Et elle ne m’a jamais proposé de porter une blouse !
Elle marque un bref silence : « Elle est très compétente comme directrice, mais comme personne, elle a des comportements ambigus avec certaines femmes. Peut-être que vous lui... comment dire... plaisez ? »
Puis sans attendre ma réponse, elle se lève : « On y va ? La station de bus est à 500 mètres et il est l’heure ».
Nous nous séparons à la station, prenant des bus différents. Je me souviens alors des propos de Lenka. La directrice attirée par les femmes ? Pourtant, elle est mariée, avec une fille en plus.
Mercredi 30 août. 7 h 50. Je rentre dans la cour de l’école. Je vois les collègues là-bas, sous le préau. Au même moment, la directrice sort de son bureau et vient à ma rencontre :
— Bonjour Eva !
Elle jette un coup d’œil à ma jupe : « Vous aimez être comme ça, n’est-ce pas ? Je commence à avoir quelques échos sur votre tenue. ...
... Aujourd’hui, les activités seront plus physiques. Vous voyez le petit camion, là-bas ? Il contient tout le matériel scolaire : livres, cahiers et autres. Il faudra le ventiler dans les classes. Le travail devra être terminé à midi. »
Le chauffeur ouvre la porte arrière de la camionnette. Des centaines de petits colis nous attendent. Il faut une bonne heure pour la vider. Après quoi, ouverture et répartition, puis ventilation dans les classes.
— Mademoiselle Ukazová, voici votre classe ! me dit la directrice en ouvrant la porte. J’entre, suivie des collègues portant des lots de livres et de cahiers. Je me sens un peu perdue dans cette agitation mais je fais de mon mieux. Et puis l’attitude si bienveillante de la directrice à mon égard me rassure.
Il n’est pas loin de midi quand tout est, à peu près, en place. Demain, ce sera le temps de s’occuper des détails, de vérifier que rien ne manque, afin que tout soit fin prêt pour la rentrée officielle. Pendant que nous prenons le petit repas qui nous est proposé, Lenka, assise à côté de moi, me glisse malicieusement :
— Avec votre jupe, vous devriez surveiller vos mouvements ! J’ai entendu quelques réflexions, coquines, vous vous en doutez, sur la couleur de la culotte de la petite nouvelle...
Je suis un peu confuse, mais comme je vois que Lenka ne prend pas cela au sérieux, je me dis : «Rien de grave, alors ! »
Jeudi 31 août. Je commence à prendre mes marques. C’est la journée réservée aux derniers réglages, aux ultimes ...